* Baille *
MOn voyage m'avait exténué. Après une longue traversée j'avais enfin poser pieds à l'Académie tant attendue. Voilà. J'y étais arrivé. J'étais enfin accepté à l'Académie. J'allais pouvoir faire mes études puis avoir un diplôme qui serait reconnu dans le monde entier et j'allais pouvoir vivre. Pour lui, pour moi. Je n'avais pas utilisé la téléportation pour venir, j'avais préféré venir en train. J'avais pu réfléchir à beaucoup de choses, à penser à lui, à mes parents qui étaient fiers de moi, qui voulaient vraiment que je réussise cet objectif fixé il y a de cela 3 ans. J'avais passé le voyage assis sur un siège inconfortable, lisant quelques livres emprunté dans sa bibliothèque, qui était tenu à présent par ses grands parents. Je n'avais pas vraiment vu les heures défilées bien que j'en ressente à présent la fatigue accumulée.
Ma main se glissa dans mes cheveux noirs et je soupirait en regardant l'académie. Le transport m'avait déposé à la gare non loin de là, à quelques kilomètres, et j'avais parcourut le reste à pieds. Le vent glacial m'avait un peu réveillé, bien que mon esprit se soit embrumé. Je n'avais qu'une envie, aller m'allonger dans un lit, ou même dans l'herbe, pour pouvoir dormir. Je bailla une nouvelle fois, tout en regardant l'Académie. Mes mains lâchèrent mes bagages à mes pieds et allèrent se réfugier dans les poches de mon long manteau couleur noir. Certes à présent, je comprenais pourquoi on la disait si prestigieuse cette Académie. Oui elle était imposante et marquait un certain respect. Oui, elle relatait des dizaines d'années de coopération entre les différents pays de Gamëlia. C'était la meilleure école du monde. La meilleure pour s'en sortir. La meilleure pour réussir partout.
Mes mains venaient à présent cacher mon visage, où je bailla à nouveau. Je devais absolument me coucher. Il devait être aux environ de 18 heures. J'empoigna mes sacs et me mis à marcher en direction de l'établissement. Mes pas étaient grands et rapides, je n'en pouvait plus de ce temps frigorifiant. Je pénétrait bientôt dans les jardins de l'Académie, ceux qui bordaient l'allée centrale du moins. Je vis quelques élèves qui se baladaient à l'extérieur, sans pour autant y croiser une foule entière.
Je monta rapidement les marches et entra dans cet endroit magnifique.
Le sol en marbre, l'escalier dominant de la même couleur, la tapisserie un peu baroque par moment, tout étaient parfait. Le soleil qui était quand même présent dehors venait pénétrer dans cet univers blanc et pur qui paraissait presque saint et inviolable. Avais je le droit de venir ici? Cette ambiance blanche et propre mêtait un peu mal à l'aise. Mais cela ne marchait pas pour moi. Je regardais autour de moi d'un oeil rapide et furtif. Je ne voulai pas que l'on puisse lire sur mon visage mon adoration pour cette architecture et cet environnement. Il y avait un panneaux d'affichage, des bancs, des portes et cet escalier. Des élèves étaient assis sur les marches, je pouvais entendre des rires et des discussions provenant d'en haut. Des bruit de chaussures sur ce sol si magistral.
Je ne savais pas vraiment où es ce qu'il fallait que je me rende. Où es-ce qu'on m'attendait, si jamais on m'attendait.. Vers qui devais je aller? Allait on venir me chercher? Je ne savais pas trop, mais soudain j'entendis un emerveillement provenant de derrière moi, peut être une nouvelle élève? Je me retourna alors pour l'observer.
MOn voyage m'avait exténué. Après une longue traversée j'avais enfin poser pieds à l'Académie tant attendue. Voilà. J'y étais arrivé. J'étais enfin accepté à l'Académie. J'allais pouvoir faire mes études puis avoir un diplôme qui serait reconnu dans le monde entier et j'allais pouvoir vivre. Pour lui, pour moi. Je n'avais pas utilisé la téléportation pour venir, j'avais préféré venir en train. J'avais pu réfléchir à beaucoup de choses, à penser à lui, à mes parents qui étaient fiers de moi, qui voulaient vraiment que je réussise cet objectif fixé il y a de cela 3 ans. J'avais passé le voyage assis sur un siège inconfortable, lisant quelques livres emprunté dans sa bibliothèque, qui était tenu à présent par ses grands parents. Je n'avais pas vraiment vu les heures défilées bien que j'en ressente à présent la fatigue accumulée.
Ma main se glissa dans mes cheveux noirs et je soupirait en regardant l'académie. Le transport m'avait déposé à la gare non loin de là, à quelques kilomètres, et j'avais parcourut le reste à pieds. Le vent glacial m'avait un peu réveillé, bien que mon esprit se soit embrumé. Je n'avais qu'une envie, aller m'allonger dans un lit, ou même dans l'herbe, pour pouvoir dormir. Je bailla une nouvelle fois, tout en regardant l'Académie. Mes mains lâchèrent mes bagages à mes pieds et allèrent se réfugier dans les poches de mon long manteau couleur noir. Certes à présent, je comprenais pourquoi on la disait si prestigieuse cette Académie. Oui elle était imposante et marquait un certain respect. Oui, elle relatait des dizaines d'années de coopération entre les différents pays de Gamëlia. C'était la meilleure école du monde. La meilleure pour s'en sortir. La meilleure pour réussir partout.
Mes mains venaient à présent cacher mon visage, où je bailla à nouveau. Je devais absolument me coucher. Il devait être aux environ de 18 heures. J'empoigna mes sacs et me mis à marcher en direction de l'établissement. Mes pas étaient grands et rapides, je n'en pouvait plus de ce temps frigorifiant. Je pénétrait bientôt dans les jardins de l'Académie, ceux qui bordaient l'allée centrale du moins. Je vis quelques élèves qui se baladaient à l'extérieur, sans pour autant y croiser une foule entière.
Je monta rapidement les marches et entra dans cet endroit magnifique.
Le sol en marbre, l'escalier dominant de la même couleur, la tapisserie un peu baroque par moment, tout étaient parfait. Le soleil qui était quand même présent dehors venait pénétrer dans cet univers blanc et pur qui paraissait presque saint et inviolable. Avais je le droit de venir ici? Cette ambiance blanche et propre mêtait un peu mal à l'aise. Mais cela ne marchait pas pour moi. Je regardais autour de moi d'un oeil rapide et furtif. Je ne voulai pas que l'on puisse lire sur mon visage mon adoration pour cette architecture et cet environnement. Il y avait un panneaux d'affichage, des bancs, des portes et cet escalier. Des élèves étaient assis sur les marches, je pouvais entendre des rires et des discussions provenant d'en haut. Des bruit de chaussures sur ce sol si magistral.
Je ne savais pas vraiment où es ce qu'il fallait que je me rende. Où es-ce qu'on m'attendait, si jamais on m'attendait.. Vers qui devais je aller? Allait on venir me chercher? Je ne savais pas trop, mais soudain j'entendis un emerveillement provenant de derrière moi, peut être une nouvelle élève? Je me retourna alors pour l'observer.