- Spoiler:
- [ La suite du titre est :"...Qu'ils n'ont pas !". Ce post est pour Coco et l'élève de poche x) ]
Après sa rencontre avec Oz, Vasco avait capté un truc. Oui, en retard, mais vous savez, il s'est fait tellement frappé cette soirée là que c'est peu surprenant. Bon, d'accord, il était naturellement cinglé. Ce qu'il avait remarqué ? Qu'Oz, c'était pas un prénom. Tout juste un magicien, donc il avait lu le conte étant enfant. Et, bien entendu, il s'était demandé quel était le véritable prénom de Coco. Alors, il s'était servit des atouts qu'il avait, à savoir son charme. Ainsi, il avait découvert qu'une fille avec qui il s'entendait bien - certes, elle voudrait peut-être aller plus loin avec lui mais, si Vasco l'avait remarqué, il faisait comme s'il ne le savait pas- travaillait à l'académie. Il lui avait été alors très simple de lui demander des renseignements sur Oz. Et, bien heureusement, celui-ci était connu pour son absentéisme et son insolence - bizarrement, cela ne surpris pas outre mesure le jeune artiste. Et donc, très heureux, il avait mis la main sur l'identité de Coco, la vrai tout du moins. Maintenant, il savait à qui il avait vraiment affaire : pas que ça ai une réelle importance - à vrai dire, même s'il avait été un enfant de star, il est probable que Vasco ne le saisisse même pas tant il était décalé - mais il était toujours plus agréable de savoir à qui on parlait.
Bref. Ces évennements dataient de plusieurs semaines déjà. Ce jour-là, le temps était au beau fixe : une très légère brise, le soleil qui se montrait timidement. Temps idéal por notre chanteur, puisqu'il passait les trois quarts de son temps dans les rues, sauf quand il était engagé quelque part - ce qui arrivait, à sa plus grande joie, de plus en plus fréquemment, étant donné qu'il commençait à se faire connaître. Vitani n'était pas avec lui, étant partie chasser. Alors, vêtu d'une veste en cuir sous laquelle il portait un fin pull noir et d'un jeans rapiécé, il avait décidé, chapeau noir sur la tête, de ne pas se produire ce jour-là, ou pas dans l'immédiat. Non, il resta dehors, sur la place, et accorda sa guitare. Cela à l'oreille, bien entendu. Il était bien content de pouvoir le faire dehors et, une fois que cela fut fait, il ne résista tout de même pas à la tentation et joua un petit air, sans accorder d'attention aux regards, surpris et même parfois émerveillés, qui se posaient sur lui. En fait, la seule pensée qui lui traversait présentement l'ésprit était qu'il en avait marre du célibat, mais bon, on ne se refait pas, hein.
Ce fut donc dans cette mentalité qu'il cessa de jouer, cherchant des yeux une jolie fille à abborder, quelque part dans cette foule. Il ne trouva pas de jolies filles, malheureusement, mais un jeune homme attira son attention. Non pas qu'il l'attirait, hein... Juste qu'il le connaissait. Il s'exclama donc joyeusement, tout fier de sa trouvaille :
"Oh ! Mais c'est ce cher Oswald Roland que voilà !"
[Bon. Ce fut en voyant l'expression de "ce cher Oswald Roland" que, perdant peu à peu son sourire, la future star comprit qu'il avait fait une erreur. Son reflexe ? Miniaturiser sa guitare, la glisser dans la poche de sa veste et, refermant celle-ci, scindre la foule en fuyant à toutes jambes ! Car oui, il était pas masochiste et persuadé que Oz allait- encore - lui taper dessus. Donc, il fuyait. Seulement, son erreur avait dû être particulièrement grande car, quittant peu à peu les rues animées pour des rues moins fréquentables, dirons nous, courant à grand hasard au plus vite - heureusement, il n'en était pas à sa première fuite, et courait donc assez vite avec une certaine endurance - qu'il le pouvait, il entendait encore des bruits de courses derrière lui. Oh, non... Bon, n'étant pas non plus quelqu'un de trop physique, il finit par s'arrêter à la périphérie de la ville, au coeur des quartiers les plus bas de Sannom. A vrai dire, son unique reflexe fut de rentrer en trombe dans un entrepôt désaffecté. N'y voyant strictement rien, il du y ralentir, se cognant de temps à autres dans quelques objets non-identifiés. Au final, vers le fond de la salle, il s'assit contre un mur et, reprennant la respiration, fit une remarque on ne peut plus stupide qu'il n'adresait qu'à lui-même...
" Ouf ! Je crois que j'ai semé le Magicien !"
Oui, le Magicien, c'était Oz, par rapport au Magicien d'Oz, bien sûr... Uh uh, petite starlette, es-tu pesuadé d'avoir échappé à ton bourreau ?
Bref. Ces évennements dataient de plusieurs semaines déjà. Ce jour-là, le temps était au beau fixe : une très légère brise, le soleil qui se montrait timidement. Temps idéal por notre chanteur, puisqu'il passait les trois quarts de son temps dans les rues, sauf quand il était engagé quelque part - ce qui arrivait, à sa plus grande joie, de plus en plus fréquemment, étant donné qu'il commençait à se faire connaître. Vitani n'était pas avec lui, étant partie chasser. Alors, vêtu d'une veste en cuir sous laquelle il portait un fin pull noir et d'un jeans rapiécé, il avait décidé, chapeau noir sur la tête, de ne pas se produire ce jour-là, ou pas dans l'immédiat. Non, il resta dehors, sur la place, et accorda sa guitare. Cela à l'oreille, bien entendu. Il était bien content de pouvoir le faire dehors et, une fois que cela fut fait, il ne résista tout de même pas à la tentation et joua un petit air, sans accorder d'attention aux regards, surpris et même parfois émerveillés, qui se posaient sur lui. En fait, la seule pensée qui lui traversait présentement l'ésprit était qu'il en avait marre du célibat, mais bon, on ne se refait pas, hein.
Ce fut donc dans cette mentalité qu'il cessa de jouer, cherchant des yeux une jolie fille à abborder, quelque part dans cette foule. Il ne trouva pas de jolies filles, malheureusement, mais un jeune homme attira son attention. Non pas qu'il l'attirait, hein... Juste qu'il le connaissait. Il s'exclama donc joyeusement, tout fier de sa trouvaille :
"Oh ! Mais c'est ce cher Oswald Roland que voilà !"
[Bon. Ce fut en voyant l'expression de "ce cher Oswald Roland" que, perdant peu à peu son sourire, la future star comprit qu'il avait fait une erreur. Son reflexe ? Miniaturiser sa guitare, la glisser dans la poche de sa veste et, refermant celle-ci, scindre la foule en fuyant à toutes jambes ! Car oui, il était pas masochiste et persuadé que Oz allait- encore - lui taper dessus. Donc, il fuyait. Seulement, son erreur avait dû être particulièrement grande car, quittant peu à peu les rues animées pour des rues moins fréquentables, dirons nous, courant à grand hasard au plus vite - heureusement, il n'en était pas à sa première fuite, et courait donc assez vite avec une certaine endurance - qu'il le pouvait, il entendait encore des bruits de courses derrière lui. Oh, non... Bon, n'étant pas non plus quelqu'un de trop physique, il finit par s'arrêter à la périphérie de la ville, au coeur des quartiers les plus bas de Sannom. A vrai dire, son unique reflexe fut de rentrer en trombe dans un entrepôt désaffecté. N'y voyant strictement rien, il du y ralentir, se cognant de temps à autres dans quelques objets non-identifiés. Au final, vers le fond de la salle, il s'assit contre un mur et, reprennant la respiration, fit une remarque on ne peut plus stupide qu'il n'adresait qu'à lui-même...
" Ouf ! Je crois que j'ai semé le Magicien !"
Oui, le Magicien, c'était Oz, par rapport au Magicien d'Oz, bien sûr... Uh uh, petite starlette, es-tu pesuadé d'avoir échappé à ton bourreau ?
Dernière édition par Vasco Fair le Jeu 28 Oct 2010 - 18:50, édité 2 fois