KIYOPROMTAK
Jeune fille, 25 ans,
Nomag (7,26)
Ryzeurs d'Or
Nomag (7,26)
Ryzeurs d'Or
Nomag
Novice
Homme de main
Reine des smoothies bio
Novice
Homme de main
Reine des smoothies bio
Compétences magas
Echelle de Faëly |
Données | |||
Points de compétence | 9 | Âge | 25 |
Coefficient de puissance | 2.2 | Etat de santé | Stable |
Entraînement | Aucun | Activité | Elevée |
Influence de la Kuromagie | Pas d'influence | Stress | Léger |
Résultats | |||
Niveau | Novice | Score de maîtrise | 2.00 |
Facteur de puissance | 1.17 | Score de puissance | 3.63 |
Points restants | 0 | Score de Faëly | 7.26 |
Domaines de compétences | |||
Magie élémentaire | Maximum de points | Pourcentage de maitrise | Statistique individuelle |
130 | 1 | 3.63 | |
Elements | Soins sur soi | Soins sur autrui | Altérations corporelles |
Manipulation | |||
2 | |||
Invocation | Mineurs | ||
- | - | ||
Décomposition | Intermédiaires | Mineurs | Sur soi |
- | - | - | - |
Transformation | Majeurs | Intermédiaires | Sur autrui consentant |
- | - | - | - |
Majeurs | Sur autrui non-consentant | ||
- | - | ||
Magie étherée | Maximum de points | Pourcentage de maitrise | Statistique individuelle |
120 | 5 | 18.15 | |
Détection | Illusion | Combat | |
Flux magiques | |||
4 | |||
Sorts d'autrui | Création d'illusions | Défenses de ses sorts | |
2 | - | - | |
Présence maga inactif | Réappropriation des sorts d'autrui | ||
1 | - | ||
Contact connu | Annulation au lancement des sorts d'autrui | ||
- | - | ||
Fermeture contact | Annulation des sorts d'autrui à la préparation | ||
- | - | ||
Contact d'inconnu | |||
- | |||
Récupération d'information dans l'esprit d'autrui | |||
- | |||
Magie d'enchantement | Maximum de points | Pourcentage de maitrise | Statistique individuelle |
160 | 0 | 0.00 | |
Enchantements | Artefacts | Magie runique | |
Utilisation | Utilisation | ||
- | - | ||
Détection | Compréhension | ||
- | - | ||
Enchantement d'objets | Détection | Invention | |
- | - | - | |
Enchantements complexes | Utilisation simple | Annulation | |
- | - | - | |
Compréhension | Utilisation composée | ||
- | - | ||
Annulation | Création simple | ||
- | - | ||
Création composée | |||
- | |||
Destruction | |||
- |
Représentation du Don :
Kiyo ne se représente pas son don.
D’ailleurs, il n’est pas bien clair pour elle qu’elle en ait un.
La seule fois où elle a pensé que c’était possible, elle avait huit ans et fixait la flamme d’une bougie. Intensément. Sa soeur lui expliquait de rester concentrer, de cligner des yeux le moins possible. Et, de temps en temps, quand Kiyo se sentait sur le point de pleurer, la flamme se courbait à droite ou à gauche.
C’était sa soeur aînée qui soufflait doucement dessus. Mais elle préférait croire que c’était son don qui se réveillait.
Avec le temps, elle a appris à se contenter d’être nomag. Accepter sa destinée. Se réjouir des choses simples. Ce qu’elle sent, ou ce qu’elle croit sentir par moment, cela ressemble plus à une intuition.
Et encore, il faut que ce soit fort.
Utilisation du Don :
Kiyo n’a pas une utilisation consciente de son don. Elle en a trop peu pour le ressentir et le modeler selon sa volonté.
Elle ignore tout des subtilités de son utilisation, des combats féroces et invisibles que se livrent parfois les magas. Et, naturellement, cela l’intéresse peu. Sauf lorsqu'ils décident d'altérer son monde, de le rendre imprévisible et plus dangereux qu'il n'est déjà. Alors, elle a appris à s’en méfier.
Rien n’est plus dangereux que ce qu’on ne comprend pas.
En ce qui la concerne, elle met ça sur le compte d’un pressentiment. Parfois, il lui arrive de sentir l’aura de ceux qui l’entourent. Plus rarement, elle s’imagine sentir la concentration d’un maga. Bien sûr, elle se trompe de temps en temps. Ce n’est pas une science exacte. Et elle se contente de suivre son instinct.
Kiyo ne se représente pas son don.
D’ailleurs, il n’est pas bien clair pour elle qu’elle en ait un.
La seule fois où elle a pensé que c’était possible, elle avait huit ans et fixait la flamme d’une bougie. Intensément. Sa soeur lui expliquait de rester concentrer, de cligner des yeux le moins possible. Et, de temps en temps, quand Kiyo se sentait sur le point de pleurer, la flamme se courbait à droite ou à gauche.
C’était sa soeur aînée qui soufflait doucement dessus. Mais elle préférait croire que c’était son don qui se réveillait.
Avec le temps, elle a appris à se contenter d’être nomag. Accepter sa destinée. Se réjouir des choses simples. Ce qu’elle sent, ou ce qu’elle croit sentir par moment, cela ressemble plus à une intuition.
Et encore, il faut que ce soit fort.
Utilisation du Don :
Kiyo n’a pas une utilisation consciente de son don. Elle en a trop peu pour le ressentir et le modeler selon sa volonté.
Elle ignore tout des subtilités de son utilisation, des combats féroces et invisibles que se livrent parfois les magas. Et, naturellement, cela l’intéresse peu. Sauf lorsqu'ils décident d'altérer son monde, de le rendre imprévisible et plus dangereux qu'il n'est déjà. Alors, elle a appris à s’en méfier.
Rien n’est plus dangereux que ce qu’on ne comprend pas.
En ce qui la concerne, elle met ça sur le compte d’un pressentiment. Parfois, il lui arrive de sentir l’aura de ceux qui l’entourent. Plus rarement, elle s’imagine sentir la concentration d’un maga. Bien sûr, elle se trompe de temps en temps. Ce n’est pas une science exacte. Et elle se contente de suivre son instinct.
Compétences nomags
Le sport tient une place importante dans sa vie. Elle se contenterait bien de le faire par plaisir, mais c’est aussi devenu un besoin. Tout y passe : course à pied, fitness, sports de combat, escalade, vélo…
C’est à se demander comment un si petit machin peut avoir autant d’énergie.
A bien y regarder, malgré sa maigreur apparente, son corps est nerveux, souple, musclé. Tout a une fonction. Bien sûr, elle doit faire attention. Son coeur. Cette fragilité nouvelle. Elle ne doit pas le stresser inutilement. Mais cette activité permet de le renforcer, de stabiliser son état de santé. Il suffit qu’elle trouve le juste équilibre.
Contrairement à ce que laisserait penser son poids plume, c’est une experte du combat à main nue. Elle maîtrise plusieurs styles de combat. Rapide. Agile. Insaisissable. Et il vaut mieux qu’elle le soit. Elle sait qu’elle a beau être endurante, il y a des limites physiques que même sa volonté de fer ne saurait dépasser. Une erreur. Un seul mauvais coup. Et elle pourrait ne pas s’en relever.
Inutile de préciser qu’entre ses mains, tout est une arme. On ne devient pas ce qu’elle est sans savoir se protéger d’un rien, se révéler mortelle, même dans les situations les plus anodines.
Pourtant, elle ne cache pas son attachement à son arme de prédilection. Elle a rarement eu l’occasion d’utiliser son katana, et encore moins aujourd’hui qu’elle a pris sa retraite. Mais c’est une arme élégante, poétique, qui lui ressemble. Autrement, elle aimait travailler à distance. Avec le matériel adéquat, c’est une excellente tireuse.
Sinon, complètement inconsciente du danger, elle conduit comme un pilote de Formule 1. La route est de toute évidence un circuit de course et les feux rouges, un défi personnel qui lui est lancé. Heureusement qu'elle se déplace surtout en vélo.
Evidemment, ses parents ne sont pas horticulteurs pour rien. Kiyo est naturellement douée avec les plantes. Elle sait les faire pousser, les soigner, les entretenir. Et elle aime ça. Elle n’a jamais vraiment eu le temps d’avoir un jardin à elle. Mais elle est capable d’une patience, d’une délicatesse et d’un sens du détail qui confinent à l’art. Ne serait-ce que pour un pied de basilic ou un simple ficus.
Kiyo n’est pas vraiment créative. Elle manque d’imagination et sa sensibilité est surtout intérieure.
Pourtant, convaincue qu’un bon dessin vaut mieux qu’un long discours, elle s’est faite une spécialité des petits croquis, schémas et autres esquisses. Si elle n’entrera jamais aux beaux arts, elle a de toute évidence un style reconnaissable entre mille. Une petite écriture enfantine et mignonne. Un talent inné pour tirer un sourire à quiconque contemplerait l’une de ses oeuvres. Mais bien sûr, son support préféré reste le post-it.
En matière culinaire, Kiyo a des goûts très particuliers. Originaire de Nara, elle aime des plats souvent très épicés, assez pauvres, aux accompagnements surprenants pour ne pas dire écoeurants. Pourtant, ce n’est pas faute de manger sain, varié, et bio.
Elle prête très attention à son régime alimentaire et c’est ce qui, doucement, l’a amené à s’intéresser au milieu de la restauration. Si ses goûts restent un peu trop originaux pour le marché Sannoman, elle a pris le parti de s’adapter à la demande. Elle est aux smoothies ce que Léo est au café. Ils vont donc conquérir le monde.
C’est à se demander comment un si petit machin peut avoir autant d’énergie.
A bien y regarder, malgré sa maigreur apparente, son corps est nerveux, souple, musclé. Tout a une fonction. Bien sûr, elle doit faire attention. Son coeur. Cette fragilité nouvelle. Elle ne doit pas le stresser inutilement. Mais cette activité permet de le renforcer, de stabiliser son état de santé. Il suffit qu’elle trouve le juste équilibre.
Contrairement à ce que laisserait penser son poids plume, c’est une experte du combat à main nue. Elle maîtrise plusieurs styles de combat. Rapide. Agile. Insaisissable. Et il vaut mieux qu’elle le soit. Elle sait qu’elle a beau être endurante, il y a des limites physiques que même sa volonté de fer ne saurait dépasser. Une erreur. Un seul mauvais coup. Et elle pourrait ne pas s’en relever.
Inutile de préciser qu’entre ses mains, tout est une arme. On ne devient pas ce qu’elle est sans savoir se protéger d’un rien, se révéler mortelle, même dans les situations les plus anodines.
Pourtant, elle ne cache pas son attachement à son arme de prédilection. Elle a rarement eu l’occasion d’utiliser son katana, et encore moins aujourd’hui qu’elle a pris sa retraite. Mais c’est une arme élégante, poétique, qui lui ressemble. Autrement, elle aimait travailler à distance. Avec le matériel adéquat, c’est une excellente tireuse.
Sinon, complètement inconsciente du danger, elle conduit comme un pilote de Formule 1. La route est de toute évidence un circuit de course et les feux rouges, un défi personnel qui lui est lancé. Heureusement qu'elle se déplace surtout en vélo.
Evidemment, ses parents ne sont pas horticulteurs pour rien. Kiyo est naturellement douée avec les plantes. Elle sait les faire pousser, les soigner, les entretenir. Et elle aime ça. Elle n’a jamais vraiment eu le temps d’avoir un jardin à elle. Mais elle est capable d’une patience, d’une délicatesse et d’un sens du détail qui confinent à l’art. Ne serait-ce que pour un pied de basilic ou un simple ficus.
Kiyo n’est pas vraiment créative. Elle manque d’imagination et sa sensibilité est surtout intérieure.
Pourtant, convaincue qu’un bon dessin vaut mieux qu’un long discours, elle s’est faite une spécialité des petits croquis, schémas et autres esquisses. Si elle n’entrera jamais aux beaux arts, elle a de toute évidence un style reconnaissable entre mille. Une petite écriture enfantine et mignonne. Un talent inné pour tirer un sourire à quiconque contemplerait l’une de ses oeuvres. Mais bien sûr, son support préféré reste le post-it.
En matière culinaire, Kiyo a des goûts très particuliers. Originaire de Nara, elle aime des plats souvent très épicés, assez pauvres, aux accompagnements surprenants pour ne pas dire écoeurants. Pourtant, ce n’est pas faute de manger sain, varié, et bio.
Elle prête très attention à son régime alimentaire et c’est ce qui, doucement, l’a amené à s’intéresser au milieu de la restauration. Si ses goûts restent un peu trop originaux pour le marché Sannoman, elle a pris le parti de s’adapter à la demande. Elle est aux smoothies ce que Léo est au café. Ils vont donc conquérir le monde.