La panthère noire se mit à renifler Saren. S'il elles s'acceptaient c'était tant mieux car je n'avais pas envie d'avoir des problèmes à cause des relations de mon famillier. J'avais le droit de me le demander car elle était d'un naturel bagarreuse, alors les ennuis j'en avais soupés.
Je vis quil me regardait avec une certaine froideur et agacement quand je fis léviter ses bagages. Monsieur n'était-il pas content ? J'avais soudain comme une envie de rompre le charme et de laisser tomber ses bagages. A cause de mon glyphe, j'arrivait parfois à sentir les sentiments de certaines personnes et là, je savais parfaitement que ce que je faisait ne lui plaisait pas. Eh bien tant pis !
Je lui lança un drole de regard comme je savais les faires. Un regard qui mets facilement mal à l'aise. Et s'il était pas content, c'était la meme chose...
Je monta les escaliers, Aethoryn derrière moi.
Toute la montée se fit sans un bruit, sans une parole. Je voyais les marches défilées sous mes pas, mais j'avais la tete ailleurs.
Je bifurqua dans un couloir et on arrivit enfin devant une grande porte en ébène. Cette porte était magnifique et sur ses battants était gravés deux écussons. Une rose noire entourée d'un blason rouge.
Je fis redéscendre les bagages et je me retourna et lui dit d'un ton égal où l'on devinait aucun sentiments :
Voici la porte de note salle commune. Si tu veux te donner la peine d'entrer. Après toi...
Je vis quil me regardait avec une certaine froideur et agacement quand je fis léviter ses bagages. Monsieur n'était-il pas content ? J'avais soudain comme une envie de rompre le charme et de laisser tomber ses bagages. A cause de mon glyphe, j'arrivait parfois à sentir les sentiments de certaines personnes et là, je savais parfaitement que ce que je faisait ne lui plaisait pas. Eh bien tant pis !
Je lui lança un drole de regard comme je savais les faires. Un regard qui mets facilement mal à l'aise. Et s'il était pas content, c'était la meme chose...
Je monta les escaliers, Aethoryn derrière moi.
Toute la montée se fit sans un bruit, sans une parole. Je voyais les marches défilées sous mes pas, mais j'avais la tete ailleurs.
Je bifurqua dans un couloir et on arrivit enfin devant une grande porte en ébène. Cette porte était magnifique et sur ses battants était gravés deux écussons. Une rose noire entourée d'un blason rouge.
Je fis redéscendre les bagages et je me retourna et lui dit d'un ton égal où l'on devinait aucun sentiments :
Voici la porte de note salle commune. Si tu veux te donner la peine d'entrer. Après toi...