~ Armel Weiss ~
Identité :
Armel Weiss
5 avril, 23 ans
Sexe : Féminin
Métier : Aimerait travailler à l’Auberge de Sannom.
Physique :
La jeune femme est plus petite que la moyenne. Elle a une silhouette fine et des formes qu’elle préfère dissimuler sous de grandes chemises d’homme. Malgré ses efforts, elle est loin d’être masculine. De longs cheveux d’un noir de jais coulent dans son dos. Son visage est finement dessiné, et sa bouche est indéniablement celle d’une femme.
Mais son regard intrigue et désarçonne. Ses yeux, d’un brun très foncé sont incroyablement troublant, et vous examinent souvent d’une manière très dure.
Sa propre mère ne la reconnaîtrait pas tant elle a changé en quelques années. Autrefois, ses yeux bleus laissaient passer toutes ses émotions et sa joie de vivre. Sa voix n’était pas si grave. Et il n’y avait pas cette longue cicatrice qui courait dans son dos…
Caractère :
Qualités : Intelligente, sensible.
Défauts : Perturbée, à fleur de peau, silencieuse.
Petit résumé du caractère : Armel n’a pas confiance en elle, ni en personne. Elle est très douée en magie mais s’est jurée de ne plus jamais avoir recours à son Don. Elle se culpabilise et doute incessamment des décisions à prendre... Elle n'extériorise plus ses émotions, et arbore un visage assez grave au quotidien. Loin d'être volubile comme elle l'était autrefois, la jeune femme réfléchit beaucoup en elle-même, et souffre de n'avoir personne avec qui partager ses pensées, et souffre de la solitude qui l'enveloppe. Elle se dévalorise tellement qu'elle n'ambitionne pas d'autre poste que le vulgaire métier de serveuse. Cependant, si elle relevait la tête, l'incertion dans une Guilde à la hauteur de son talent ne serait pas si difficile.
Histoire :
Origine (Terre/Gamaëlia) : Gamaëlia
Petit résumé de votre histoire :
L'enfance d'Armel laissait-elle présager un caractère comme le sien ?
La philosophie enseigne aux terriens que tout se décide, se dessine durant les six premières années de vie.
De sa vie de petite fille, Armel ne garde que de vagues images mangées d'ellipses. Les cheveux blonds de sa mère sur son visage. Le contact d'une peau mal rasée crissant sur ses joues rondes. Des larmes d'enfants lors de ses premiers échecs en magie. Rares échecs. L'enfant est douée, mais trop peu sage. Les réprimandes des professeurs. Les au revoirs aux copains qu'elle quitte en changeant d'école. A plusieurs reprises...
Le goût de la vie. Le soleil baignant un grand bâtiment. Son école préférée, Gamaëlia.
Là, les souvenirs se gâtent et s'enfuient. La vérité lui échappe. Les souvenirs deviennent brûmeux. Elle se souvient d'heures à rire et d'autres à travailler. De rencontres marquantes, troublantes, euphorisantes. Armel sait qu'elle a vécu et ressenti, mais ne retrouve plus les sensations qui devaient l'envelopper alors. Le fourmillement agréable d'un fou-rire en classe, le sentiment d'être aimée et appréciée pour ce qu'elle était. Toutes ces sensations ont disparu depuis bien longtemps déjà.
On dit de l'adolescence que c'est un fléau ?
Essayez donc de grandir, dans un monde magique comme Gamaëlia. Où la quête du pouvoir est la plus forte pour les uns qui n'hésitent pas à décimer les autres. Pour ceux qui préfèrent à la mort des traitements plus terribles. Pour les sadomasochistes sombréens, mais aussi sur votre continent ! N'allez pas croire. Ce serait trop facile.
Son passage à l'âge adulte aura convaincu Armel que le choix n'est pas possible, et que quoi qu'on en dise, la loi du plus fort domine toutes les autres.
Elle qui avait toujours prôné la paix et la non-violence, même en duel. Elle a tué, comme les autres, sous les ordres des Akaëliens. Elle a torturé, comme les autres.
Ils auront fait d'elle leur jouet.
Jusqu'à ce qu'elle s'évade, enfin, dégoûtée d'elle-même, de la vie, de la magie et de tout ce qui s'ensuit. Sans familier, le goupil l'ayant douloureusement délaissée, écoeuré par ses actes, insconcient qu'elle ne pouvait faire autrement qu'obéir.
Elle sait que ses tortionnaires la rechercheront, pour la tuer sans doute, elle en sait trop. Pour la torturer peut-être, après tout, elle se débrouillait bien. Ils doivent se mordre les doigts de l'avoir laissé filer. Tant pis pour eux. Après tout, vous avez réussi, quelque part. Vous l'avez détruite et complètement transformée. Elle n'est plus que l'ombre d'elle-même. Et même plus l'ombre de ce qu'elle était autrefois, petite fille rieuse et assurée, qui faisait des farces et qu'on aimait.
Armel a la conscience lourde, cette conscience l'écrase et l'empêche même de respirer. Plusieurs fois, elle a voulu en finir. Mais elle revient à Sannom. Elle veut revoir l'Académie. Pour se convaincre que les vagues souvenirs qui persistent ne sont pas des chimères. Qu'elle a été cette petite fille qui résonne doucement en elle depuis qu'elle s'est enfuie, et qui creuse dans son corps. Qu'elle peut rire à nouveau comme avant. Elle le sent dans ses poumons, dans son ventre qu'elle pourrait peut-être rire à nouveau. Que se foutre en l'air maintenant serait lâche. Et que si elle a survécu dans l'horreur, elle peut espérer toucher à la vie qu'elle était en droit d'attendre. Maintenant.
Mais doutant d'elle et terrorisée de reparaître devant ses anciens amis, Armel s'est servi, une dernière fois -elle se l'est juré- de son don pour métamorphoser son apparence. Sans savoir si elle dévoilera son identité ou s'ils la perceront à jour, changeant jusqu'à la couleur de ses yeux. Pour les voir sans être vue...
Famille : Elle n’a plus de nouvelles depuis bien longtemps. Elle ne connaît pas son père et ne peut plus prétendre connaître sa mère.
Familier : Considérons qu’elle n’en a plus, puisqu'il l'a reniée.
Autre :
Quelle(s) guilde(s) souhaiteriez-vous intégrer ? Les Ryzeurs d’Or, j’imagine, en vue de mon ambition de métier provisoire ?
Comment avez-vous connu le forum ? Je jouais avec un autre personnage, il y a quelques années.
Identité :
Armel Weiss
5 avril, 23 ans
Sexe : Féminin
Métier : Aimerait travailler à l’Auberge de Sannom.
Physique :
La jeune femme est plus petite que la moyenne. Elle a une silhouette fine et des formes qu’elle préfère dissimuler sous de grandes chemises d’homme. Malgré ses efforts, elle est loin d’être masculine. De longs cheveux d’un noir de jais coulent dans son dos. Son visage est finement dessiné, et sa bouche est indéniablement celle d’une femme.
Mais son regard intrigue et désarçonne. Ses yeux, d’un brun très foncé sont incroyablement troublant, et vous examinent souvent d’une manière très dure.
Sa propre mère ne la reconnaîtrait pas tant elle a changé en quelques années. Autrefois, ses yeux bleus laissaient passer toutes ses émotions et sa joie de vivre. Sa voix n’était pas si grave. Et il n’y avait pas cette longue cicatrice qui courait dans son dos…
Caractère :
Qualités : Intelligente, sensible.
Défauts : Perturbée, à fleur de peau, silencieuse.
Petit résumé du caractère : Armel n’a pas confiance en elle, ni en personne. Elle est très douée en magie mais s’est jurée de ne plus jamais avoir recours à son Don. Elle se culpabilise et doute incessamment des décisions à prendre... Elle n'extériorise plus ses émotions, et arbore un visage assez grave au quotidien. Loin d'être volubile comme elle l'était autrefois, la jeune femme réfléchit beaucoup en elle-même, et souffre de n'avoir personne avec qui partager ses pensées, et souffre de la solitude qui l'enveloppe. Elle se dévalorise tellement qu'elle n'ambitionne pas d'autre poste que le vulgaire métier de serveuse. Cependant, si elle relevait la tête, l'incertion dans une Guilde à la hauteur de son talent ne serait pas si difficile.
Histoire :
Origine (Terre/Gamaëlia) : Gamaëlia
Petit résumé de votre histoire :
L'enfance d'Armel laissait-elle présager un caractère comme le sien ?
La philosophie enseigne aux terriens que tout se décide, se dessine durant les six premières années de vie.
De sa vie de petite fille, Armel ne garde que de vagues images mangées d'ellipses. Les cheveux blonds de sa mère sur son visage. Le contact d'une peau mal rasée crissant sur ses joues rondes. Des larmes d'enfants lors de ses premiers échecs en magie. Rares échecs. L'enfant est douée, mais trop peu sage. Les réprimandes des professeurs. Les au revoirs aux copains qu'elle quitte en changeant d'école. A plusieurs reprises...
Le goût de la vie. Le soleil baignant un grand bâtiment. Son école préférée, Gamaëlia.
Là, les souvenirs se gâtent et s'enfuient. La vérité lui échappe. Les souvenirs deviennent brûmeux. Elle se souvient d'heures à rire et d'autres à travailler. De rencontres marquantes, troublantes, euphorisantes. Armel sait qu'elle a vécu et ressenti, mais ne retrouve plus les sensations qui devaient l'envelopper alors. Le fourmillement agréable d'un fou-rire en classe, le sentiment d'être aimée et appréciée pour ce qu'elle était. Toutes ces sensations ont disparu depuis bien longtemps déjà.
On dit de l'adolescence que c'est un fléau ?
Essayez donc de grandir, dans un monde magique comme Gamaëlia. Où la quête du pouvoir est la plus forte pour les uns qui n'hésitent pas à décimer les autres. Pour ceux qui préfèrent à la mort des traitements plus terribles. Pour les sadomasochistes sombréens, mais aussi sur votre continent ! N'allez pas croire. Ce serait trop facile.
Son passage à l'âge adulte aura convaincu Armel que le choix n'est pas possible, et que quoi qu'on en dise, la loi du plus fort domine toutes les autres.
Elle qui avait toujours prôné la paix et la non-violence, même en duel. Elle a tué, comme les autres, sous les ordres des Akaëliens. Elle a torturé, comme les autres.
Ils auront fait d'elle leur jouet.
Jusqu'à ce qu'elle s'évade, enfin, dégoûtée d'elle-même, de la vie, de la magie et de tout ce qui s'ensuit. Sans familier, le goupil l'ayant douloureusement délaissée, écoeuré par ses actes, insconcient qu'elle ne pouvait faire autrement qu'obéir.
Elle sait que ses tortionnaires la rechercheront, pour la tuer sans doute, elle en sait trop. Pour la torturer peut-être, après tout, elle se débrouillait bien. Ils doivent se mordre les doigts de l'avoir laissé filer. Tant pis pour eux. Après tout, vous avez réussi, quelque part. Vous l'avez détruite et complètement transformée. Elle n'est plus que l'ombre d'elle-même. Et même plus l'ombre de ce qu'elle était autrefois, petite fille rieuse et assurée, qui faisait des farces et qu'on aimait.
Armel a la conscience lourde, cette conscience l'écrase et l'empêche même de respirer. Plusieurs fois, elle a voulu en finir. Mais elle revient à Sannom. Elle veut revoir l'Académie. Pour se convaincre que les vagues souvenirs qui persistent ne sont pas des chimères. Qu'elle a été cette petite fille qui résonne doucement en elle depuis qu'elle s'est enfuie, et qui creuse dans son corps. Qu'elle peut rire à nouveau comme avant. Elle le sent dans ses poumons, dans son ventre qu'elle pourrait peut-être rire à nouveau. Que se foutre en l'air maintenant serait lâche. Et que si elle a survécu dans l'horreur, elle peut espérer toucher à la vie qu'elle était en droit d'attendre. Maintenant.
Mais doutant d'elle et terrorisée de reparaître devant ses anciens amis, Armel s'est servi, une dernière fois -elle se l'est juré- de son don pour métamorphoser son apparence. Sans savoir si elle dévoilera son identité ou s'ils la perceront à jour, changeant jusqu'à la couleur de ses yeux. Pour les voir sans être vue...
Famille : Elle n’a plus de nouvelles depuis bien longtemps. Elle ne connaît pas son père et ne peut plus prétendre connaître sa mère.
Familier : Considérons qu’elle n’en a plus, puisqu'il l'a reniée.
Autre :
Quelle(s) guilde(s) souhaiteriez-vous intégrer ? Les Ryzeurs d’Or, j’imagine, en vue de mon ambition de métier provisoire ?
Comment avez-vous connu le forum ? Je jouais avec un autre personnage, il y a quelques années.
Dernière édition par Armel Weiss le Mar 3 Nov 2009 - 22:38, édité 6 fois