Ce jour-ci, il neigeait. Le soleil ne se montrait pas, c’était les nuages qui avaient remporté ce combat, là haut dans le ciel. Ainsi ils se sont répandus, ne laissant pas un rayon de soleil réchauffer le paysage. Non. Il ne faisait pas sombre mais peu de personne y voyait dans cette brume qui avait accompagné les nuages dans leur croisades. Le froid ainsi installé, il ne manquait plus que la pluie tombe. Mais au fur et à mesure que le froid devint plus grand, ces gouttes de pluies, ruisselant sur les rochers, humidifiant cette terre et laissant entendre leur doux contact contre quelconque objet, s’étaient transformées en neige. Cette neige si blanche, si froide, si pure, recouvrait toute la terre de Gamaëlia. Il neigea ainsi pendant des heures. C’est alors que la neige recouvrait plus d’un mètre d’épaisseur.
Voyant cela du haut de son rocher, Elyneo s’émerveilla devant la magie de la nature. Il a vu la terre des hommes se transformer en un paradis pour les animaux de neiges. Etant lui-même un animal des neiges, voir un tel spectacle l’éblouissait. Son cœur si écœuré de cette terre et de cette boue, prit un plaisir immense à voir se répandre la neige. Prit par un élan de folie et de plaisir éternel, il se mit à courir sur la neige, ne s’enfonçant pas comme certains animaux qui sont trop lourd pour que la neige puisse les soutenir. Ses pattes ne firent pas de bruit au contact de la neige, son souffle si saccadé et si chaud laissait vois ses petites nages de chaleur, tandis que son pelage si doux se familiarisait avec le paysage.
Jamais il n’avait sentit un tel bonheur. Plus jamais il ne le sentirait alors il en profita un maximum avant que la neige ne parte aussi vite qu’elle est venue.
Mais dans toute cette agitation, il entendit un crie. Son bonheur se stoppa pour faire place à la curiosité. Se demandant d’où sortait ce crie, il arrêta de courir pour tendre l’oreille. Un autre crie se fit entendre. Il venait du cœur de la forêt. Elyneo se mit alors à courir vers ce crie si féminine et si charmante, qui ressentait pourtant une peur immense et une frayeur bien caractérisé de la femme humaine. Il courrait le plus vite qu’il put, à travers la forêt.
Durant ce trajet, pourtant si court pour Elyneo, qui est un animal dont la vitesse est la principale qualité, il repensa à Kevin. Il savait à peu près où il était car il lui avait dit qu’il irait voir les bâtisses du village. Elyneo avait refusé à l’accompagner car rien que l’idée d’être au sein de la foule, d’être obligé de supporter quelques regards mal avisés et les critiques plus moins basse des familiers ou de leur humains.
Une fois arrivé sur place, il se mit dans un endroit sombre de la forêt, à guetter la place où il avait entendu les cries. Sa peau se familiarisa avec la neige qui l’environnait, le laissant donc invisible à l’œil humain et animal. Mais ce qu’il vit le surpris…
Voyant cela du haut de son rocher, Elyneo s’émerveilla devant la magie de la nature. Il a vu la terre des hommes se transformer en un paradis pour les animaux de neiges. Etant lui-même un animal des neiges, voir un tel spectacle l’éblouissait. Son cœur si écœuré de cette terre et de cette boue, prit un plaisir immense à voir se répandre la neige. Prit par un élan de folie et de plaisir éternel, il se mit à courir sur la neige, ne s’enfonçant pas comme certains animaux qui sont trop lourd pour que la neige puisse les soutenir. Ses pattes ne firent pas de bruit au contact de la neige, son souffle si saccadé et si chaud laissait vois ses petites nages de chaleur, tandis que son pelage si doux se familiarisait avec le paysage.
Jamais il n’avait sentit un tel bonheur. Plus jamais il ne le sentirait alors il en profita un maximum avant que la neige ne parte aussi vite qu’elle est venue.
Mais dans toute cette agitation, il entendit un crie. Son bonheur se stoppa pour faire place à la curiosité. Se demandant d’où sortait ce crie, il arrêta de courir pour tendre l’oreille. Un autre crie se fit entendre. Il venait du cœur de la forêt. Elyneo se mit alors à courir vers ce crie si féminine et si charmante, qui ressentait pourtant une peur immense et une frayeur bien caractérisé de la femme humaine. Il courrait le plus vite qu’il put, à travers la forêt.
Durant ce trajet, pourtant si court pour Elyneo, qui est un animal dont la vitesse est la principale qualité, il repensa à Kevin. Il savait à peu près où il était car il lui avait dit qu’il irait voir les bâtisses du village. Elyneo avait refusé à l’accompagner car rien que l’idée d’être au sein de la foule, d’être obligé de supporter quelques regards mal avisés et les critiques plus moins basse des familiers ou de leur humains.
Une fois arrivé sur place, il se mit dans un endroit sombre de la forêt, à guetter la place où il avait entendu les cries. Sa peau se familiarisa avec la neige qui l’environnait, le laissant donc invisible à l’œil humain et animal. Mais ce qu’il vit le surpris…