[RP précédent ICI]
Plusieurs ombres se matérialisèrent dans le pénombre d'un couloir.
La plus grande, vraisemblablement humaine, se dirigea vers une porte et malgré son fardeau, réussit à ouvrir l'entrée de l'appartement pour se glisser à l'intérieur. Une ombre massive entra également, suivit d'une autre beaucoup plus petite et rapide, qui disparut à l'intérieur aussi soudainement qu'ils étaient apparus. Puis le calme revint dans le palier, comme si de rien ne s'était passé.
A l'intérieur Sorel marmonna une fois de plus une brêve incantation et une petite lampe s'alluma dans le salon, lueur orangée et chaleureuse dans l'appartement. Une fois de plus Gabriel n'avait pas fermé les volets et l'on pouvoir la lune et une ribambelle d'étoiles parsemer le manteau sombre qui s'était abattu sur la ville. Raina parti s'installer vers la porte vitrée pendant que Sabbat ne quittait pas Sorel d'une semelle. En effet celui-ci portait sa moitié humaine dans ses bras, inconsciente. Il traversa le salon et s'arrêta devant le sofa couleur crème pour y allonger son protégé. Les cheveux blonds en bataille, il était perdu dans un lourd sommeil sans rêves. Et pourtant, malgré cela, il affichait toujours cet air arrogant sous ses mèches devenues longues avec le temps. Quelque chose lui effleura la jambe et atterrit à côté de lui, veillant à son maître. Sabbat se coucha sur son maître, petite boule de fourrure aux yeux féroces. Sorel ne lui plaisait pas. Il ne lui inspirait pas confiance.
Sans y accorder un seul regard il s'affala sur le fauteuil qui traînait pas loin du sofa, le visage tourné le plafond, sa cape étalée autour de lui. Ses mains reposaient nonchalement sur le bras du fauteuil, l'une de ses jambes pliée et l'autre tendue, des mèches de cheveux lui tombant sur le visage.
Gabriel ne dirait rien à propos de Liven, IL en était sûr. Il l'aimait beaucoup trop pour songer à le dénoncer aux sangsues. Aimer. Il eût une grimace de dégoût. Quelle futilité grotesque...
Liven resterait désormait avec lui, Gabriel s'occuperait de lui teindre les cheveux pendant qu'il se chargerait de s'approprier une potion de changetraits. Cela prendrait un petit moment mais ce n'était pas très grave. Une fois ces petits problèmes réglés il pourrait s'occuper de son éducation en matière de magie noire. Une fois qu'il aurait acquis un bon niveau il lui révélerait une partie de ses plans. Il pourrait le prendre comme bras-droit par la suite s'ils arrivaient à réunir suffisament de membres...
Et après...
Après il serait libre de diriger Gamaëlia comme il le souhaiterait... Il pourrait mener à bien ses recherches et ainsi prendre le contrôle du monde humain et de ses ressources. Six milliards de cobayes rien que pour lui et ses recherches... Il pourrait faire des progrès en magie, il serait capable de déclarer la guerre à d'autres mondes parallèles et devenir ainsi tout puissant...
Régner sur tout.
Imposer ses règles sur tous.
Décider de la vie et de la mort de chaques êtres vivants, nomags, magas ou autres...
Quelqu'un s'agita dans une pièce voisine, Gabriel sans doute.
¤ Parfait.¤
Il n'aurait pas besoin de lui écrire quoi que ce soit sur papier, il pourrait lui expliquer la situation dès maintenant. Lui expliquer qu'ils allaient cacher Liven Reaves et lui donner une fausse identité. Qu'il ne fallait pas les trahir et que Liven aurait besoin de son aide. Ce serait un peu compliqué à expliquer mais il avait toute la nuit. Au pire il lui donnerait d'autres informations plus tard. Gabriel était curieux et intelligent quand il le voulait, il ne manquerait pas de lui poser des questions...
Quelques instant plus tard la porte de la chambre de Gabriel Scott s'ouvrit, le laissant paraître en robe de chambre en satin rose foncé, l'air encore endormi. Il se dirigea pieds nus vers lui, sa main cachant tant bien que mal un grand baillement, ses orteils s'enfonçant dans le tapis en poils blancs et doux qui s'étalait entre le sofa, le fauteuil et une petite table basse.
Sorel ne prit même pas la peine de se relever, se contentant de tourner la tête vers son colocataire, un air neutre sur le visage. Comment allait-il réagir devant la présence de l'objet de tout ses désirs ?
Plusieurs ombres se matérialisèrent dans le pénombre d'un couloir.
La plus grande, vraisemblablement humaine, se dirigea vers une porte et malgré son fardeau, réussit à ouvrir l'entrée de l'appartement pour se glisser à l'intérieur. Une ombre massive entra également, suivit d'une autre beaucoup plus petite et rapide, qui disparut à l'intérieur aussi soudainement qu'ils étaient apparus. Puis le calme revint dans le palier, comme si de rien ne s'était passé.
A l'intérieur Sorel marmonna une fois de plus une brêve incantation et une petite lampe s'alluma dans le salon, lueur orangée et chaleureuse dans l'appartement. Une fois de plus Gabriel n'avait pas fermé les volets et l'on pouvoir la lune et une ribambelle d'étoiles parsemer le manteau sombre qui s'était abattu sur la ville. Raina parti s'installer vers la porte vitrée pendant que Sabbat ne quittait pas Sorel d'une semelle. En effet celui-ci portait sa moitié humaine dans ses bras, inconsciente. Il traversa le salon et s'arrêta devant le sofa couleur crème pour y allonger son protégé. Les cheveux blonds en bataille, il était perdu dans un lourd sommeil sans rêves. Et pourtant, malgré cela, il affichait toujours cet air arrogant sous ses mèches devenues longues avec le temps. Quelque chose lui effleura la jambe et atterrit à côté de lui, veillant à son maître. Sabbat se coucha sur son maître, petite boule de fourrure aux yeux féroces. Sorel ne lui plaisait pas. Il ne lui inspirait pas confiance.
Sans y accorder un seul regard il s'affala sur le fauteuil qui traînait pas loin du sofa, le visage tourné le plafond, sa cape étalée autour de lui. Ses mains reposaient nonchalement sur le bras du fauteuil, l'une de ses jambes pliée et l'autre tendue, des mèches de cheveux lui tombant sur le visage.
Gabriel ne dirait rien à propos de Liven, IL en était sûr. Il l'aimait beaucoup trop pour songer à le dénoncer aux sangsues. Aimer. Il eût une grimace de dégoût. Quelle futilité grotesque...
Liven resterait désormait avec lui, Gabriel s'occuperait de lui teindre les cheveux pendant qu'il se chargerait de s'approprier une potion de changetraits. Cela prendrait un petit moment mais ce n'était pas très grave. Une fois ces petits problèmes réglés il pourrait s'occuper de son éducation en matière de magie noire. Une fois qu'il aurait acquis un bon niveau il lui révélerait une partie de ses plans. Il pourrait le prendre comme bras-droit par la suite s'ils arrivaient à réunir suffisament de membres...
Et après...
Après il serait libre de diriger Gamaëlia comme il le souhaiterait... Il pourrait mener à bien ses recherches et ainsi prendre le contrôle du monde humain et de ses ressources. Six milliards de cobayes rien que pour lui et ses recherches... Il pourrait faire des progrès en magie, il serait capable de déclarer la guerre à d'autres mondes parallèles et devenir ainsi tout puissant...
Régner sur tout.
Imposer ses règles sur tous.
Décider de la vie et de la mort de chaques êtres vivants, nomags, magas ou autres...
Quelqu'un s'agita dans une pièce voisine, Gabriel sans doute.
¤ Parfait.¤
Il n'aurait pas besoin de lui écrire quoi que ce soit sur papier, il pourrait lui expliquer la situation dès maintenant. Lui expliquer qu'ils allaient cacher Liven Reaves et lui donner une fausse identité. Qu'il ne fallait pas les trahir et que Liven aurait besoin de son aide. Ce serait un peu compliqué à expliquer mais il avait toute la nuit. Au pire il lui donnerait d'autres informations plus tard. Gabriel était curieux et intelligent quand il le voulait, il ne manquerait pas de lui poser des questions...
Quelques instant plus tard la porte de la chambre de Gabriel Scott s'ouvrit, le laissant paraître en robe de chambre en satin rose foncé, l'air encore endormi. Il se dirigea pieds nus vers lui, sa main cachant tant bien que mal un grand baillement, ses orteils s'enfonçant dans le tapis en poils blancs et doux qui s'étalait entre le sofa, le fauteuil et une petite table basse.
Sorel ne prit même pas la peine de se relever, se contentant de tourner la tête vers son colocataire, un air neutre sur le visage. Comment allait-il réagir devant la présence de l'objet de tout ses désirs ?
[H.J : Excuse-moi Gaby ce n'est pas très très long pour un début... u_u''']