Keith Mcfly - Tu veux ma photo ?

Identité :

- Bonjour cher imprudent ! Tu oses me déranger pendant mon boulot ? Comment ça je faisais la sieste ? Oui bon d'accord. J'ai fait la fête hier, c'est pas ma faute !

Bon tu veux quoi ? Un service ? Une excuse ? Non ? Tu veux quoi alors ? Quoi ? * s'étouffe *Tu veux me connaître ? Bien. Quitte la pièce ou subi mon histoire de un jusqu'à z. Mais ne m'interrompt pas.

Je m'appelle Keith Mcfly, je suis né le vingt-huit Janvier et j'ai aujourd'hui vingt cinq ans. Comme tu as pu le voir, je suis un homme. Mon métier ? Je suis un genre de chasseur de prime, de détective privé et de chercheur de mauvaises excuses. Ne pose pas de question, je t'expliquerais tout, tout à l'heure.

Physique :

Je suppose que tu as vu à quoi je ressemble mais je vais comme même te le dire. Chut ! Ne me dit rien ! Je t'ai prévenu de m'écouter ou de partir. Tu ne peux plus faire marche arrière. Je suis plutôt grand, un mètre soixante-dix neuf, pour soixante cinq kilo. Je fais de la musculation tout les matins ce qui me donne un corps plutôt svelte et bien battit. Comme tu peux le voir, j'ai les cheveux long, lisses et châtains clair. Non ! Il sont pas roux ! Ils sont châtain clair. J'ai les yeux marrons, le regard noir et j'aime. Mon visage est légèrement effilé. Le menton est cependant aplatit. Ce que je trouve fort joli. Ne cherche pas de tic ou autres attitudes sur mon visage, je n'en ai pas, je n'en ai plus. Seul mon sourire pourrait décrire mes pensées mais attention à vous après l'avoir vu. Comme une personne qui passe sa vie dans la nuit, j'ai la peau légèrement blanche mais rien de bien prononcé. Tu vois cette mèche ? Vous pensez tous qu'elle cache un œil aveugle. Et bien non, je ne suis pas borgne. J'aime cacher un œil. Vous ne pourrez voir où je regarde ainsi. J'adore porter des vêtements noirs pour me fondre dans la nuit. J'adore porter une cape noir sur la côté extérieur et rouge dans l'intérieur.

Caractère :

Sans vouloir me vanter, je me trouve plutôt intelligent, fortement calculateur, j'ai toujours préféré les maths à l'histoire ou aux autres matières littéraires. Et je suis persévérant. Je ne lâcherais jamais ce que j'ai entreprit. Cependant, je suis paranoïaque, je vois le danger partout et je suis vicieux, sournois et rancunier. Même si pour moi ces trois derniers défauts sont plus des qualités. Ne me cherchez pas même pour rire. Je ne rigole pas ou peu. Donne moi une travail, un objectif, des sous et je ne te décevrais pas. Cependant si tu ne remplis pas ta part du contrat, tu passeras un mauvais quart d'heure voire demi-heure. Comme je te l'ai dit, je suis paranoïaque. Je ne me sépare jamais de ma lame. Et je me déplace toujours dans l'ombre. Je ne montre jamais mon visage à l'ennemi. Et je ne fais jamais de témoins. Sinon lors de mes temps libres, j'aime écouter de la musique terrienne,m'entraîner à l'escrime et boire avec mes amis. Oui, j'ai des amis. Il n'y a que avec ex que je rigole vraiment. Les inconnus n'ont jamais entendu mon rire amical. Parce que le rire démoniaque, oui. Tu me demanderas comment je me fais des amis si je n'aime pas les inconnus ? Et bien vois tu, c'est moi qui vais vers eux. Et non pas le contraire. Ou ils peuvent essayer mais c'est risqué mais pas impossible.

Histoire :

Je suis né un jour normal, dans une famille, presque normal. Mes parents étaient rarement à la maison, c'est donc une nourrice qui m'a élevé. Je n'ai pas eu de sœur, ni de frère. J'ai vécu seul pendant treize longues années. Ne voyant mes parents que tout les deux voir trois mois. Je voyait comme même du monde. Je jouais avec les enfants du petit village où j'habitais. Qui est à l'est de Sannom. Dans les terres. Je faisais avec eux les bêtises de notre âge. Embêter les filles, chaparder deux trois trucs. Rien de bien spectaculaire. Le jour de mes treize ans, mes parents m'offrirent en cadeau, mon entré à l'académie de Gamaëlia. Le pire cadeau que j'ai eu de toute ma vie. Je suis rentré à l'académie. A treize ans et quelques mois. Et l'horreur a commencé. J'étais pas nul en magie. J'étais pire ! Je ne savais même pas faire un sort tout basique. Malheureusement, mes parents m'y avaient "emprisonné". L'académie ne me rejetterait pas avant ma majorité. Je devait donc faire trois ans dans cette école. J'ai donc décidé de m'occuper à ma façon. Faire le mur, sécher, ne pas respecter le couvre feu. Je pense avoir le record d'heures de colles de l'établissement. Au bout de mes trois ans de calvaires. J'ai quitté l'académie. Pensant trouver mes parents devant la grille. Mais juste ma nourrice m'attendait. Elle m'apprit que mes parents n'avaient pas donné de nouvelles d'eux depuis mon entré. Leurs non-visites, pour moi, étaient dû au faite qu'ils ne voulaient pas me "déranger" dans ma scolarité. Et ce même pendant les vacances. Ce fut la goutte d'eau qui mit le feu à l'étincelle. J'avais lâché mon enfance lors de mes années à l'académie et je ne la retrouverais plus. Ma joie de vivre avait disparu avec. Je ne suis pas rentré chez moi. Étant majeur, j'ai voulu faire ma propre éducation. Celle que mes parents n'avaient pas faite, celle que l'académie avait tenté de me faire avaler de force. Je partis dans les rues de Sannom que je commençais à connaître. Mais je ne savais pas où dormir. Un beau soir, alors que j'avais faim, que j'avais froid et que je tentais de dormir dans une ruelle sombre, je me suis retrouvé sur la grande place. Face à deux personnes. Une femme de belle allure et un mec louche. Le femme criait. Mais personne ne semblait venir l'aider. Je me suis donc approché de l'inconnu louche. Et je lui ai sorti une excuse bidon. Comme quoi il devait pas embêter la dame. Ce n'est pas mon corps qui décidait de ce que je faisais. C'était inconsciemment. Je ne pouvais l'expliquer. J'ai compris ensuite que c'était ça mes seuls pouvoirs magique. Entendre les appels au secours et trouver des excuses totalement bidons mais qui marchait. La femme m'a offert le logis et le souper pour l'avoir sauvé. J'ai pu ainsi vivre quelques temps sans soucis. Mais ne supportant plus mon moral toujours noir. Elle me vira, sans oublier de me laisser des sous. Avec ces sous, j'eus l'idée de mon travail. Je n'aimais pas aider les gens. Mais je pouvais très bien les tuer. J'ouvris un cabinet de tueur à gage, je pris aussi des habits digne d'un tueur à gage. Et mon épée, chérie. Je basais ma carte de visite sur plusieurs qualités. Discrétion, Efficacité, Honneur. Je n'ai pas raté un seul contrat. Mes victimes mourait de leur propre consentement. Sans faire de bruit. Sans jamais m'attirer d'ennui. C'est comme ça que je suis devenu plus ou moins connu dans le milieu. Et que j'ai étendu ma gamme de produits. Je tue, je recherche les personnes en difficulté et je trouve des excuses bidons pour convaincre quelqu'un. Moyennant finance forcément. J'aime mon travail et je ne le quitterais pour rien au monde. Même si il est dangereux. Très dangereux.

Je n'ai plus de famille. Et si je revois mes parents je les tuerais. Mais ils ne seront pas consentant pour qu'ils souffrent encore plus.

Familier :

Ah j'oubliais. J'ai un familier bien sur. Malheureusement. Il s'appelle Albator, c'est une mouette rieuse. Elle est blanche, avec un bec noir et des yeux bleu. Je l'ai connu lors qu'une heure de colle. Par "une heure", j'entends bien sur, une séance de colle. Je faisais bien souvent minimum trois heures de colles. Enfin bref. Je m'embêtais franchement. Pour changer. Je n'avais pas réussi à ouvrir la porte. Magie tout pourrie ! Je ne pouvais pas sortir par la fenêtre. Grilles toutes pourries ! J'ai donc ouvert une fenêtre. Et j'ai regardé dehors, laissant mes pensées s'évader. Oui, j'aime me perdre dans mes pensées. A cette époque j'aimais m'imaginer, voguant dans l'espace, dans un vaisseaux dont je serais le capitaine. Un vaisseaux pirate. Oui j'aurais aimé être un pirate de l'espace. Mais passons. Alors que je voyageais entre galaxie. Une mouette vint me voire. Par je ne sais qu'elle magie, elle me parla dans ma tête. J'ai cru devenir fou. Je me suis arraché les cheveux, frappé la tête contre les tables. J'ai du au bout d'un moment et quelques équimoses me rendre compte que c'était ce qu'on appelait un familier. On a ainsi fait connaissance. Et passer la meilleur heure de colle de toute ma vie. On a toujours fait les quatre cents coups ensemble. Que ce soit à l'école ou après. Toujours prête à m'aider. Toujours le mot pour rire. Mais bien trop souvent dans mes pattes, surtout quand je travaille. * Rigole *J'ai rigolé là ? Non. Non ! J'ai pas rigolé.


Autre :

Je fais forcément parti d'une guilde, vu mon travail c'est mieux pour avoir des offres. Je fais actuellement parti des Meragas. Oui je sais c'est pas la plus aimé. Mais elle paye bien.

C'est gentil de m'avoir écouté jusqu'au bout. Vous saviez qu'une mouette pouvait tuer un homme en lui ouvrant le crâne d'un coup de bec ? Non ? Et Bien maintenant vous le savez.

-- Tu peux te faire plaisir Albator. --

*Un bruit sinistre d'os brisé résonne dans toute la pièce et est suivit d'un blanc puis du bruit d'un bec picorant dans une boîte crânienne*

- Jamais de témoins.

Kira remet ses pieds sur le bureau et se laisse bercer par le bruit de sa mouette se régalant.