Caliban et Arya revenaient de forêt. Durant le trajet du retour, sentant la jeune fille plus réceptive à ses excuses, le Dalavirien s'était enhardi jusqu’à poser sa main sur la taille de l’Amaësienne. Agaçant ? Provocant ? Non, amoureux. Tant de choses s’étaient déroulées en forêt !
Dans ce lieu si romantique au départ, un drame avait eu lieu, puis une dispute … Arya en voulait toujours à Caliban, le jeune homme le sentait à l’amertume décelable dans sa voix, à son reproche toujours présent dans son regard. Néanmoins, le Dalavirien ne voulait pas la perdre. Son Familier venait de trouver la mort, une partie de lui-même, était détruite à jamais. Caliban n’aurait pas supporté une autre séparation.
Sur tout le trajet du retour, le jeune homme avait gardé le silence, comme pour rendre un dernier hommage à son Familier. Maintenant, il se sentait en droit de parler, et le besoin de se livrer lui oppressait la poitrine. Le Dalavirien posa son regard sur Arya qui marchait à côté de lui et ralentit le pas lorsque l’Académie eut apparut devant eux. Un rapide coup d’œil vers l’immense bâtiment à l’attitude royale, puis un retour vers son aimée.
Caliban s’arrêta alors complètement et prit les mains de la jeune fille qui l’accompagnait, croisant ses doigts sur les siens, redoutant au plus profond de lui qu’Arya ne les lui retire des siennes. Son regard était maintenant le plus tendre qu’il ne l’eut jamais été, et une lueur d’inquiétude y brillait, tout au fond, indécelable.
Un espoir incertain vivait encore en Caliban, et c’était pour le moment la seule chose qui lui donnait la force de continuer de vivre.
Dans ce lieu si romantique au départ, un drame avait eu lieu, puis une dispute … Arya en voulait toujours à Caliban, le jeune homme le sentait à l’amertume décelable dans sa voix, à son reproche toujours présent dans son regard. Néanmoins, le Dalavirien ne voulait pas la perdre. Son Familier venait de trouver la mort, une partie de lui-même, était détruite à jamais. Caliban n’aurait pas supporté une autre séparation.
Sur tout le trajet du retour, le jeune homme avait gardé le silence, comme pour rendre un dernier hommage à son Familier. Maintenant, il se sentait en droit de parler, et le besoin de se livrer lui oppressait la poitrine. Le Dalavirien posa son regard sur Arya qui marchait à côté de lui et ralentit le pas lorsque l’Académie eut apparut devant eux. Un rapide coup d’œil vers l’immense bâtiment à l’attitude royale, puis un retour vers son aimée.
Caliban s’arrêta alors complètement et prit les mains de la jeune fille qui l’accompagnait, croisant ses doigts sur les siens, redoutant au plus profond de lui qu’Arya ne les lui retire des siennes. Son regard était maintenant le plus tendre qu’il ne l’eut jamais été, et une lueur d’inquiétude y brillait, tout au fond, indécelable.
Un espoir incertain vivait encore en Caliban, et c’était pour le moment la seule chose qui lui donnait la force de continuer de vivre.