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    Cours de M.G n°2, deuxième année, Eléa Faëly

    Eléa Faëly
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    Message  Eléa Faëly Mar 20 Fév 2007 - 13:19

    Eléa descendit rapidement les marches du hall pour sortir dans le parc, et se dirigea d'un pas vif vers les élèves qui l'attendaient à leur point de rendez-vous, dans la forêt. A peine arrivée, elle donna la couleur du cours. Aujourd'hui, petit test.

    Bonjour ! Aujourd'hui, nous allons aborder le déplacement dans l'espace, agrémenté de quelques petites surprises. Mais d'abord, quelques instructions. Vous aurez beaucoup besoin de la Magie, donc ne vous étonnez pas de ne pas pouvoir finir le parcours. De plus, vous devrez faire appel à votre improvisation, car certains obstacles n'ont pas été et ne seront sans doute pas abordés en cours.

    Ce n'était peut-être pas très sympa de leur faire ce coup-là... Mais au moins, ils sauraient se débrouiller. Et puis, ce n'était pas si dur !

    En cas de problème ou de question, envoyez des étincelles en l'air. Allez-y, l'entrée est là.

    L'entrée était très visible. C'était un trou béant dans la forêt, et pas très éclairé.

    [Eh oui, je ne suis pas sympa ^^ Le parcours se fait ainsi : Entrée, on ne voit rien, tout est noir. C'est un couloir de quelques mètres, puis un embranchement. A droite, c'est un cul de sac après moult détour et quelques arbres qui vous tombent dessus. A gauche, le chemin continue, puis s'arrête brusquement. Aucune continuation apparente, les arbres sont partout.
    A 500 mètres à droite, il y a une statue en forme de tour. Tout en haut, il y a une clef, mais certaines marches de l'escalier qui permet de monter sont escamotables.
    Le chemin qui continue est évident lorsque vous sortez de la tour, mais cache un piège (à vous d'inventer). Au bout, la sortie.

    Vous devez agrémenter votre parcours de trois pièges (trous dans le chemin, trompe-l’œil...) et d'un autre ennemi. Ca vous va ? ]
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    Message  Liven Reaves Ven 23 Fév 2007 - 14:43

    [hj : ça marche, je me lance.]

    Liven sourit aux paroles de la directrice, enfin quelque chose de difficile et qu'il n'était même pas sûr de finir. Une fois le défi lancé, le jeune homme se présenta tout naturellement à l'entrée du tunnel. Avec une pointe d'amusement dans la voix, il lança, avant de s'aventurer dans le trou :


    - C'est parti !

    Une fois à l'intérieur, il eu du mal à se repérer. Tout était sombre et en vérité, il n'y voyait rien. Il remédia à ce désagrément par un sort simple :

    - Luminaé.

    Une petite pointe de lumière apparut dans sa paume tendue. Ce n'était pas du feu (Liven n'avait pas encore le niveau pour créer des éléments), mais simplement un point lumineux qui lui éclairait les environs sur une distance d'à peu près huits mètres. La première chose qu'il remarqua fut à quel point cette portion de forêt était touffue. La seconde c'est qu'elle semblait dessiner un tunnel bien qu'il n'en soit pas sûr, la lumière ne portant pas assez loin.

    Aux aguets, Liven s'avança dans l'obscurité. Ici tous les bruits était étouffés, ainsi, le cri sinistre d'un corbeau revêtit-il une intensité et une profondeur digne des meilleurs films d'horreur. Dans cette athmosphère, Liven ne se sentait pas à son aise, mais il était impensable de faire demi-tour. Soudain, une branche derrière lui craqua et il lui sembla voir une forme accompagnée d'une paire d'yeux lorsqu'il se retourna.

    **Calme-toi Liven, ce n'est que ton imagination, tu l'as toujours eu débordante.**se dit-il.

    Néanmoins, il ne put se débarrasser de l'idée qu'on le suivait et il se retournait fréquemment pour le vérifier et surprendre à nouveau les yeux étranges qu'il n'était plus très sûr d'avoir aperçut. Tout à coup, tandis qu'il regardait encore derrière lui, il se prit les pieds dans une racine et tomba de tout son long en avant :


    - Et m*****...


    Lorsqu'il tenta de se relever, il réalisa avec horreur que ce qu'il avait pris pour une racine s'était enroulé autour de sa jambe et l'attirait dans le sol. Déjà la moitié de son mollet avait disparu tandis qu'il se débattait furieusement, même privé de lumière (dans la chute, le sort s'était annulé). Il relança son sort avec violence et sur 20 mètres, le tunnel fut éclairée, il put alors observer son agresseur. Il s'agissait...d'un arbre. Mais pas n'importe quel arbre. D'abord, il était immence, ensuite, il semblait vieux d'un millénaire et ensuite, il se courbait sur le Dalavirien tout en le tira par la cheville à l'aide de ses racines noueuses dans le sol. Assurément, ce n'était pas un arbre ordinaire. Liven réagit instantament, en colère, pris au piège, et fatigué par sa lutte, tout les éléments étaient réunis pour ce qui allait ce passer.

    - CASSE ! ! !

    La racine qui le retenait quelque minutes auparavent frémit sous l'impact, derniers instant de vie. Le sort du Dalavirien affecta tout l'arbre, mais seule la racine (chose sur laquelle Liven avait concentrée toute son attention) n'était plus qu'un amas de copaux de bois informe et de sciure. Le jeune homme recula, toujours au sol. Au même instant, l'arbre, ou du moins, il semblait que c'était l'arbre, rugit. Liven n'avait jamais rien entendu de pareil, ce n'était ni un cri de colère, ni un cri de haine, juste une plainte longue et lourde de douleur. Dans la lumière du sort faiblissant, Liven le vit fendre ses congénères et s'éloigner à l'intérieur de la forêt. Après quelques secondes, Liven se rendit compte qu'il avait retenu sa respiration. Aussi entreprit-il de se remettre d'aplomd et de décamper d'ici le plus rapidement possible.

    Il parvint à un embrochement et choisit de tourner à gauche, par pur hazard. C'était des deux, le chemin le plus dur et le plus difficile, le sol était rocailleux et inégal et les nids ce poules étaient nombreux. Plus d'une fois il trébucha, maudissant intérieurement cette épreuve. Etrangement, lorsque Liven releva la tête, il tomba sur une haie immense.

    - Un cul de sac ? Je suis ce chemin depuis un quart d'heure pour un cul de sac ?


    Il s'aperçut néanmoins d'une petite ouverture à peine visible sur la droite, intrigué, il y pénétra. A environ 500 m, il découvrit quelque chose d'extraordinaire dans cet environnement, une statue représentant une tour au beau milieu d'une clairière de forme ovale. En fait, réflexion faîte, il s'agissait d'une tour tout court, la distance ayant altérée un moment la vision du Dalavirien. Il s'avança, restant sur ces gardes car il était à découvert, et ça ni manqua pas, à 50 m de son but environ, des pierres immenses, semblables à des menhirs sortirent du sol. Avant qu'il n'eut le temps de réagir, elles formèrent un cercle autours de lui.

    - Ah, bah c'est malin ça...

    Liven n'était pas très inquiet, il ne s'agissait que de pierres après tout, peut importe leur taille. Soudainement, elles se mirent à bouger, ressérant leur étreinte autour du jeune homme. Liven lança un sort qui devait les briser et la boule d'énergie qu'il lança se répercuta sur les parois naturelles, manquant de le toucher. Se relevant, il constata que les pierres s'étaient encore rapprochées. Il chercha désespérément une solution et alors qu'il n'allait pas tarder à se faire écraser par les menhirs, elle lui vint tout simplement.

    - Levitem oy !

    Il retrouva la sensation dészagréable que provoquait chez lui la lévitation et il s'éleva dans les airs juste avant que les pierres ne fassent qu'une. Retrouvant au plus vite la terre ferme, il reprit son souffle. Tout ces actes de magie enchainés le fatiguait très efficacement. Il continua sa route et parvint à la tour, après s'être assuré que la porte n'étai pas piégée, il appuya sur la poignet et...et rien. Elle était fermée à clef. Liven pesta contre à peu près tout (notament la dirlo) puis s'assit par terre et réfléchis. Après 2, 46 minutes (pour être exact), il lança sa formule favorite :


    - Prenem forma.

    Les petits cailloux qui jonchaient le sol s'élevèrent dans les airs jusqu'à sa main où ils prirent la forme d'une clef. Liven la passa dans la serrure et ouvrit la porte d'un coups de pied. Après, juste pour le plaisir, il détruit la clef de pierre, la transformant en une poudre fine. Il posa le pied sur la première marche qui se révéla être une fausse puisqu'elle craqua sous son pied.

    - OK d'accord, on va pas s'entendre mon vieux. dit-il en s'adressaqnt à l'escalier.

    Il tatta la seconde marche et y prit appuie. Il voulait éviter dans la mesure du possible de faire acte de magie, cela le fatiguerait encore plus. Aussi passa-t-il un temps long et fastidieux consistant à vérifier les marches et à y prendre appuie et même ainsi, il faillit tomber deux ou trois fois. Il commençait à deséspéré de voir la fin de cet esclier lorsqu'un palier fit son apparition. Avant de se jeter dans la gueule du loup, il se reposa de son assension puis, entra dans la petite pièce. Elle était nue, dénuée de tout ornement, seul un hôtel de pierre en son centre semblait récompenser Liven pour ses efforts. Il s'en approcha, tattant aussi les pierres au cas où, puis saisit la clef merveilleusement ouvragée qui l'y attendait. Etant donné la complexité de la coupe, Liven du bien avouer qu'il n'aurait pas pu faire le coups de la porte de la tour, quoi qu'ouvre cette clef. Il la glissa dans son jean et alors qu'il retournait sur ces pas, il remarqua une porte, bien plus haute que le sol donc.

    Sidéré, il l'ouvrit et au lieu de trouver le vide comme il s'y attendait, il découvrit un couloir avec au bout, une porte. Non, la porte. Il sortit de la tour avec prudence et appréhension et s'avança en marchant vite jusqu'à mi parcours. Il s'arrêta en catastrophe. Juste devant lui, une hache de deux mètres venait de s'abbatre à un cheveux de lui. Il recula précipitament, mais sentit l'acier glacial d'une lame dans on dos, se retournant, il constata qu'il ne pouvait plus faire demi-tour car une hache similaire à la première lui barrait la route. Désormais, le couloir résonnait des coups de hache sur le carrelage miraculeusement intact. Liven respira un bon coups et se concentra, mais avant d'avoir achevé son sort, il s'effondra, tombant à genoux. Il n'avait plus la force de faire de la magie. Devait-il abandonner ici ? Si près de la fin ? "En cas de problème, envoyez des étincelles en l'air" avait dit la directrice. Secouant furieusement la tête, Liven se redressa. Il avait commencé seul, il terminerait seul, il était Liven que diable. Sa trop grande confiance en lui était sa faiblesse, mais en cet instant, il y croyait avec ferveur.

    Il s'élança alors, courant comme il n'avait jamais courut, évitant de justesse les lames effilées. Soudain...


    - Aarrrggg... ! ! !


    Il poussa un cri de douleur, l'une des lames, la dernière, venait de lui faire une profonde entaille dans le bras avant de se redresser aussitôt (jamais la directrice ne l'aurait mis ainsi en danger de mort). Serrant son bras sanguiniolant contre lui, il parcourut les derniers mètres et tourna la clef dans la serrure. La porte s'ouvrit sur l'assemblée d'élève et la directrice, l'attendant, lui. Depuis combien de temps était-il partit ? Dans quel état était-il ? Peut importe, il avait réussit, et malgrés la douleur de son bras, seule la fierté rayonnait sur son visage.

    - C'était pas si dur finalement.

    Dit-il dans une maigre tentative d'ironie.

    [Hj : records de ligne, deux pages et demi sur word !]
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    Cours de M.G n°2, deuxième année, Eléa Faëly Empty Re: Cours de M.G n°2, deuxième année, Eléa Faëly

    Message  Arya Evans Sam 24 Fév 2007 - 15:39

    [ Hj : A mon tour ^^ ]

    Après le retour de Liven, impressionnée, Arya prit à son tour le chemin du parcours. Elle marcha quelques instants sur le chemin, entourée d’arbres, avant de s’apercevoir qu’il y faisait plus noir que dans un four. Elle était devait être stressée pour ne pas l’avoir remarqué avant. Elle s’éclaira doucement en créant une petite source de lumière qui ne lui pompait pas trop de forces.

    Erèimul !
    ¤ Bah alors ? Moi je vois très bien sans ! ¤
    ¤ Oui mais toi, tu es un lynx. ¤

    En souriant, la jeune fille continua son chemin. Tynador l’avait détendue, aussi fut-elle extrêmement surprise en sentant soudain son sort de lumière lui demander soudainement beaucoup plus d’énergie. Elle « éteignit » sa source, désireuse de garder des forces pour plus tard.

    ¤ Tu vois quelque chose ? ¤
    ¤ Oui, mais c’est pas très clair… POUSSE-TOI ! ¤

    Tynador se jeta sur Arya, et ils tombèrent tous deux sur le chemin. L’Amaësienne eut le malheur d’atterrir sur une pierre pointue qui rentra dans son dos. Elle poussa un cri, quitte pour un bel hématome, tandis que le lynx suivait quelque chose de volant des yeux. Ce quelque chose ressemblait à une chauve-souris, mais rien n’était moins sur. Après un cri déchirant et inhumain de la chose, elle partit.
    Soulagés, les deux amis reprirent leur chemin. Ils n’avaient pas vu l’embranchement à droite, et étaient partis à gauche.
    Soudain, le chemin disparut. Il n’y avait plus de chemin. Très intriguée, Arya tourna sur elle-même plusieurs fois, pour s’avouer vaincue, et s’assit par terre.


    * Il n’y a pas d’issues apparentes… Apparentes ? *

    Elle se leva d’un coup, surprenant Tynador qui sursauta.

    ¤ Non mais ça va pas de me faire une frayeur pareille ? T'es folle ou quoi ? ¤
    ¤ Non, j’ai mieux ! A ton avis, c’est quoi ça ? ¤

    Elle désignait un arbre tout ce qu’il y a de plus banal.

    ¤ Bah un arbre, mastl ! ¤
    ¤ Mastl toi-même ! ¤

    Sûre d’elle-même, la jeune fille avança droit sur l’arbre. Tynador se dit qu’elle était folle, qu’elle allait se casser la figure… Ce qui arriva, mais pas dans le sens où il le pensait. Arya dégringola de deux bons mètres pour finir dans un trou. Dépourvu des célèbres piques, bien entendu. Le lynx était mort de rire.

    ¤ Tu verrais ta tête ! ¤
    ¤ Tais-toi ! Je crois que je me suis fait quelque chose à la cheville. ¤

    Tynador s’arrêta aussitôt de rire.

    ¤ Tu crois que c’est grave ? Tu devrais peut-être demander la directrice ? ¤
    ¤ Hors de question ! Liven l’a bien réussi lui, non ? Mais je ne sais pas comment sortir de là, les parois sont trop lisses. ¤
    ¤ Eh ! Tu sais voler non ? ¤

    L’Amaësienne rougit, honteuse de ne pas y avoir pensé plus tôt.

    Elov !

    Elle se sentit quitter terre, ayant la merveilleuse sensation de voler. Elle adorait ça. C’est donc toute souriante qu’elle se posa de l’autre côté du piège, faisant gaffe à sa cheville. Sans doute une foulure, pas très gênant. Tynador sauta par-dessus, et ils continuèrent sur le chemin jusqu’à la tour.

    ¤ Pourquoi est-ce qu’il y a une tour ici ? C’est complètement… Enfin voilà quoi ! ¤
    ¤ Que veux-tu que j’en sache ? ¤

    Sceptique, Arya s’approcha de la porte. Elle ne se méfiait pas, et eut l’agréable surprise de trouver la porte ouverte. Le lynx était, lui, plus méfiant, et n’entra qu’avec réticence dans la petite pièce qui tenait lieu d’entrée.
    La jeune fille vit l’escalier et l’envie de voler pour aller en haut la prit.


    Snolov !

    Les deux compagnons s’envolèrent droit vers l’ouverture qui se profilait en haut. Mais la Maga sentait ses forces décliner très rapidement, et elle s’en inquiétait. Quelque chose lui piquait ses forces lorsqu’elle faisait de la Magie. Mais ils arrivèrent sans encombre sur le palier qui s’ouvrait sur une pièce en contre-bas. La jeune fille reprit son souffle, et le lynx en profita pour sauter dans la pièce, qu’il observa très en détail. Il remarqua ainsi une dalle légerement plus foncée que les autres. Curieux, il s’en approcha et posa très brièvement une patte dessus. Bien lui en prit, car ainsi, plus de la moitié des dalles escamotables disparurent. Il sourit, fier de lui.
    Arya descendit ensuite après lui en faisait attention à sa cheville, et alla prendre la clef qui était sur l’autel simple, et regarda autour d’elle. Pas de sortie.


    * Encore un trompe-l’œil ? *
    ¤ Mais non mastl ! Lève la tête. ¤

    Arya fit ce que lui disait le lynx, et eut la joie de découvrir qu’elle allait encore voler. Elle sourit, mais il s’évanouit bien vite quand elle s’aperçut qu’elle était déjà crevée. Tant pis.

    Snolov !

    Ils s’envolèrent d’un coup vers la trappe située en hauteur. La clef la déverrouillait. Mais Arya, trop fatiguée, chuta après, avec Tynador. Elle atterrit heureusement sur les fesses, épargnant sa jambe droite qui avait déjà bien souffert. Le deuxième essai fut le bon.
    Ils arrivèrent derrière le groupe d’élèves et de la directrice qui ne regardait pas dans leur direction.


    Coucou !

    [ Hj : Seulement deux pages ^^ ]
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    Cours de M.G n°2, deuxième année, Eléa Faëly Empty Re: Cours de M.G n°2, deuxième année, Eléa Faëly

    Message  Arwen Black Mar 6 Mar 2007 - 22:27

    [ Je vous suis ! Les Varils en tête ... Ah, si on n'était pas là ...
    Que ferait-on sans nous ? Trêve de plaisanterie, à moi, donc. ]

    Arwen n'hésita pas, et, en voyant revenir Liven et Arya à peu près vivants, elle fit un petit signe de victoire avec ses doigts puis se lança à son tour dans le parcours.
    La jeune fille fit rapidement moins la fière, lorsqu'au bout de quelques pas seulement, elle se retrouva dans un noir complet.
    Le bruit également n'existait plus, le feuillage dense des arbres l'entourant l'étouffait.
    Au moins, sa concentration serait totale.
    Avec un sourire de surprise, la jeune fille sentit ses sens s'affiner.
    Elle était seule, et sentait son lien mental avec Rox devenir plus distant au fur et à mesure qu'elle avançait à l'aveuglette, les yeux plissés pour tenter de discerner quelque chose.
    Ce sentiment de solitude totale avait dû être improvisé par la directrice, pour rappeler à ses élèves qu'il peut arriver d'être seul, totalement seul, à tout moment.

    Agacée d'avancer si lentement, les sens aux aguets, la Nashaovienne prit la résolution de faire finalement usage de la magie.
    Elle regarda ses mains et murmura un faible mot.


    - Luusom.

    Aussitôt, une petit source de lumière fit irruption entre ses doigts, dévoilant pour la première fois l'intérieur de la forêt à Arwen, qui ne s'y était jamais rendue.
    Il faisait toujours sombre, mais maintenant, la jeune fille voyait où elle posait ses pieds. Ses pieds ?
    Elle regarda au sol un instant, et découvrit un mince, très mince fil d'argent qui semblait tendu, zigzaguant entre les arbres, entres les taillis et les buissons, comme s'il souhaitait la guider.
    Méfiante, Arwen réfléchit, et s'avança néanmoins prudemment à la suite de ce guide des plus curieux.
    Un embranchement se fit alors deviner, et la Nashaovienne hésita, puis prit finalement à gauche.

    Alors que la jeune fille avançait, en continuant de garder un oeil sur son fil conducteur
    [ Ahahaha le jeu de mots pourri ], elle sentit soudainement des serres s'enfoncer dans son tee-shirt.
    Se retournant vivement, le cœur battant, Arwen se rendit compte qu'un immense oiseau de proie l'avait apparemment prise pour cible.
    Apeurée sans pour autant friser l'apoplexie, elle se débattit tandis qu'elle se sentait soulevée du sol.
    Finalement, la Nashaovienne se résolut à utiliser la magie.


    - Luchaasme !

    Aussitôt, le rapace lâcha prise et Arwen retomba lourdement sur le sol.
    Elle sentit quelque chose craquer dans sa cheville et laissa échapper un cri, qui dû s'entendre au point où se trouvaient la directrice et les élèves.
    Les larmes aux yeux, la jeune fille ne se redressa pas, posa sa main sur sa cheville et serra les dents en la sentant gonfler rapidement.
    Découragée, elle leva le bras, s'apprêtant à renoncer, à envoyer des étincelles, pour que l'on vienne la chercher ...
    Au moment où l'incantation quittait ses lèves, Arwen les ferma brutalement.
    Liven. Arya. Tous deux avaient réussis. Ils étaient plus doués qu'elle, oui. Mais même.
    Pour pouvoir regarder son petit ami et sa meilleure copine avec fierté, Arwen décida de continuer.
    Serrant les dents, elle tenta de se redresser, et après quelques tentatives infructueuses, y parvînt.
    Avisant une branche un peu plus petite qu'elle, la Nashaovienne la fit venir à elle par un sortilège et s'y appuya.
    En soupirant et en retenant un cri, Arwen se remit en route.

    Le fil serpentait toujours entre les arbres, mais il la mena à un cul-de-sac.
    Rageuse, l'élève tendit une main et lança au hasard un sort.


    - Dutriét !

    Elle sentit ses forces commencer à l'abandonner, mais les arbres s'étaient écartés pour la laisser passer.
    500 mètres plus loin, toujours guidée par le fil et appuyée sur sa branche, la jeune fille ouvrit les yeux de stupéfaction.
    Une statue immense et majestueuse représentant une tour se dressait devant elle.
    Arwen se rendit compte à se moment-là que le fil avait disparu.
    Un craquement sourd retentit derrière elle, et elle laissa tomber sa branche.

    Un fauve gigantesque se tenait là, immobile, mais plus pour longtemps.
    Des crocs dépassant de sa gueule ne laissaient rien préserver de bon, ni le sang qui maculait son pelage doré.
    Si la Nashaovienne avait dû le décrire, elle aurait certainement utilisé la ressemblance avec le fauve très ancien dont le nom lui échappait à l'instant.
    Évidemment, le fait de se retrouver nez à nez avec une bête monstrueuse, quoique très majestueuse, y était peut-être pour quelque chose.
    Prudemment, la jeune fille sourit et de protégea immédiatement d'une bulle de protection, la plus solide possible.
    Elle ne pouvait pas courir, compte tenu de sa cheville cassée, aussi la joua-t-elle le plus lentement, le plus calmement possible, même si la frayeur se lisait dans ses yeux.
    Tendant ses mains devant elle, Arwen, sachant pertinemment que cela tiendrait du miracle si son sort marchait, enclencha un pétrifius.
    Le félin s'immobilisa dans un craquement.

    Alors la jeune fille se calma, et monta les marches de la statue dans piège autre, découvrant une clef pendue à un fil d'argent.
    Sans se demander pourquoi ce fil l'avait tant aidée, Arwen boita jusqu'à la sortie de la tour, et, épuisée, ne remarqua pas le trou creusé ... dans lequel elle tomba, achevant sa jambe blessée.
    Sentant cette fois une douleur au genou, la jeune fille se retint d'hurler et réussit tant bien que mal, en lévitant, utilisant ses dernières forces, à s'en sortir.
    Boitant jusqu'au groupe d'élèves, la Nashovienne tomba dans les bras de Liven puis se laissa tomber à terre, à bout de force.


    [ Hj : Il me manque un piège, désolée, mais je dois quitter l'ordi =S donc j'ai abrégé ]


    Dernière édition par le Sam 31 Mar 2007 - 11:32, édité 1 fois
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    Message  Eléa Faëly Jeu 22 Mar 2007 - 17:10

    [ Hj : On se demande pourquoi on les a chosit comme Varils... Je vous signale que ce sont les seuls à avoir poster ici ! ]
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    Message  Leïla Desmi Lun 26 Mar 2007 - 19:41

    [h.j: désolée, j'ai pas le temps, mais mercredi, promis, je poste ! DESOLEE ! ]
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    Message  Invité Mer 28 Mar 2007 - 12:37

    [ Hj : Allez, couarge, je le fais. ]

    Lina arriva devant l'entrée du labirynthe. Elle était en tenue de sport, revenant de la salle de Magie Générale où elle avait trouvé un simple mot sur la porte. Ses cheveux étaient attachés en deux tresses qui avaient remplacé son berêt rapiécé.
    Bref, Lina se trouvait devant l'entrée. Elle avait un peu peur, il fallait l'avouer, mais arrivait à se rassurer toute seule. Et puis elle avait fait ça pour montrer à Liven qu'elle n'était pas si nulle que ça, pour montrer que ce n'était pas parce que l'on était Nashaovien qu'on se dégonflait. Hop, alors c'était le moment.
    La Nashaovienne entra dans le labirynthe. Et ce fut avec une grande surprise qu'elle compris qu'on ne voyait rien du tout. Tout était noir. Eh bien ! Bon commencement ! Lina lança un petit sortilège de lumière, pour mieux voir. Le sortilège marchait beaucoup mieux.Lla lumière était maintenant très forte. Chouette ! Mais la jeune fille vit alors un embranchement. Quelle chemin prendre ? Droite ou gauche ? Lina décida la droite, au pif. Elle avança un peu, quand elle entendit un bruit. Surprise, elle se retourna mais ne vit rien. Soudain, la lumière s'éteignit toute seule. La jeune fille avala sa salive puis refit le sortilège et la lumière fut ^^ . C'est alors qu'elle sentit le vide sous ses pieds et se retrouva dans un trou, sous la terre. Cool. La jeune fille reprit courage et commença à escalader la paroi du trou pour pouvoir remonter dans le labirynthe. Dix minutes plus tard, c'était bon. Ouf ! Une fois les pieds sur la terre ferme, Lina regarda autour d'elle quand elle aperçut quelques chose qui la mit bien en colère :
    Un cul de sac ! Elle avait fait tout ça pour UN CUL DE SAC ?! La Nashaovienne lança un juron puis se calma. Ok. Elle réfléchit quand elle entendit un autre bruit. Pas un autre trou ? Non. Elle leva la tête quand elle vit une chose qui la petrifia : Un arbre était en train de tomber, juste au-dessus de sa tête.


    * D'abord, il fait noir. Ensuite, ma lumière s'éteint. Encore après, je tombe soudainement dans un trou et voilà qu'il pleut des arbres ! Mais c'est quoi ce bins ????? *

    Plusieurs arbres tombaient, en effet. La jeune fille en évita un mais un autre tomba sur son pied.

    - AAAAAAAAAAÏE ! Screugneugneu !

    Elle sautilla sur place et enleva sa chaussure. Son pied saignait, mais rien de vraiment grave. La jeune fille s'arrête quelques minutes, puis reprit son chemin. C'est alors qu'elle vit une sorte de statue en forme de tour.

    * ??? *

    Lina l'observa, intriguée, pendant quelques mintes et elle remarqua un petit truc sur la statue, tout en haut. Curieuse, la Nashaovienne monta les marches de l'escalier pour aller vers la statue et prit le petit truc. Une clé ? C'était une clé ? Bizarre. Lina la mit dans sa poche et redescendit les marches de l'escalier. La jeune fille allait repartir quand quelque chose barra son chemin. C'était un loup ! Un énorme loup ! Il avait de grandes dents, vraiment énormes, et un air agressif. Très bien. Lina pointa sa baguette sur lui et prononça :

    - Cercato !

    Mais rien ne se passa. Alors Lina pensa alors à quelque chose. Quand elle était petite, elle s'intéressait à l'aventure et avait lu quelque chose. Une sorte de guide de survie pour plein d'animaux ! Bien. elle savait ce qu'elle devait faire.
    La jeune fille prit alors son pull et l'agita en hauteur, en poussant de grands cris. Elle tapa fort des pieds sur le sol, comme le guide l'avait dit, mais le loup ne bougea pas d'un pouce. Il sauta alors sur Lina, la plaquant au sol.


    - HHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! Au secours !

    Elle donna alors beaucoup de coups de pieds au mammifère, très fort. Mais il ne bougea pas non plus. Il grognait et lui griffa alors tout près de l'eoil. Le sang coulait. La jeune fille rassembla alors toute son énergie et se releva brusquement, ce qui fit tomber l'énorme loup. Elle rassembla alors toutes ses forces et dit :

    - Fragntitz !

    Le loup fut alors éjécté avec beaucoup de force vers un mur du labirynthe, poussa un gémissement et s'enfuit en boitant.
    Satisfaite, Lina se dirigea vers un chemin pris au pif, quand elle aperçut quelque chose qui la laissa sans voix, quelque chose d'inattendu mais qui la soulagea énormémément. La sortie ! Lina courut vers la sortie, en pensant à son succès une fois sortie de ce satané labirynthe. Mais tout à coup, alors qu'elle courait, elle se prit quelque chose dans la figure, ce qui la fit saigner du nez. Etonnée, elle re-essaya de passer mais c'était bouché. Tout à coup, Lina comprit. Un trompe-l'oeil ! C'était une fausse sortie ! La Nashaovienne grogna, renifla le sang qui coulait de son nez et changea de chemin. Elle marcha pendant 10 bonnes minutes et vit alors un truc, tout au fond. Serait-ce enfin la sortie ? Lina sourit. Sûrement. Alors elle courut, très longtemps, et arriva enfin devant la sortie, c'était bien elle, cette fois. La jeune fille h'avait pas une super allure, son nez saignait, près de son oeil aussi et son pied aussi. Mais elle s'en fichait, et se contenta de sourire à Live, Arwen, Arya et la directrice. Elle ne dit rien puis lâchea un :


    - Fortiche, hein ?

    Ca va, le seul truc c'est qu'on a pas de baguettes à Gamaëlia Razz
    Ah oui, oups ! J'ai édité.
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    Leïla Desmi
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    Cours de M.G n°2, deuxième année, Eléa Faëly Empty Re: Cours de M.G n°2, deuxième année, Eléa Faëly

    Message  Leïla Desmi Mer 4 Avr 2007 - 13:36

    [H.j : Bonne chance, Leïla. EN AVANT !]

    - BRAVOOOOO Lina !!!!!! T’es la meilleure !!!! OUAIS !

    Leïla couru rejoindre sa meilleure amie, l’embrassa, et se releva. A son tour. Elle se dirigea vers l’entrée, regarda une dernière fois la classe, et leur fit un petit signe de la main « au revoir ». Torno lui dit une fois de plus qu’il voulait venir avec elle, mais Leïla resta catégorique. Et respira, se souhaita bonne chance. Et elle entra.

    Noir. Seul mot pour décrire ce qui ce tenait devant elle. Elle avançait de quelque pas et tomba. Elle venait de se cogner à une racine. Elle jura, se releva.

    - Lumiom !

    Une petite source de lumière vint se mettre au bout de chacun de ses doigts pour éclairer devant elle. Elle continua à avancer tout en évitant soigneusement les X racines. Mais, celle-là, elle ne l’avait pas vu. Normal, elle était transparente. Elle se prit le pied dedans, tomba, jura et… la racine s’enroula au dessus de son pied.

    - Hey !!! Mon pied !!! Lâche-le tout de suite, ou je te pulvér…

    Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase. La racine l’emmenait dans les airs. Et l’arbre auquel elle appartenait ouvrit sa bouche. Leïla hurla. Un arbre vivant ! Qui voulait en faire son dîner, apparemment. Leïla se débattit tant qu’elle pouvait, essayant de ne pas se faire manger sans utiliser la magie, parce qu’elle savait qu’elle en aurait grand besoin. Mais elle ne parvenait pas. Et la bouche se rapprochait à grand pas. Enfin, elle se rapprochait de la bouche, pas la bouche se rapprochait d’elle ! Elle traita l’arbre, qui n’avait pas pu entendre, il n’avait pas d’oreille et hurla :

    - Coupionne !

    La racine se coupa en deux. Un son strident qui venait de l’arbre fit partir les quelques oiseaux qui étaient dans la forêt.
    Leïla tomba lourdement sur le sol, et l’arbre et la racine sa rangèrent. Apparemment, Leïla leur avait fait mal. Et à elle aussi elle s’était fait mal. Son genou et son coude saignaient. Toute étourdi, elle se releva. Elle était toujours dans le noir.


    - Lumiom !

    La lumière vint au bout de chacun de ses doigts, et elle avança. Quelques minutes plus tard, elle trouve l’embranchement.

    * SUPER ! En premier, il fait tout noir, ensuite, un arbre m’attaque pour me manger et maintenant, je dois choisir entre la droite et la gauche !*

    Leïla fit plouf-plouf. Malheureusement, elle alla vers la droite, comme lui indiqua son plouf-plouf. Elle fit X et 1 virages, pour se retrouver dans un cul de sac. Elle était maintenant en colère.

    - QUOI ?! Mais c’est quoi ce délire ?! J’ai eu mal au ventre à force de tourner et de re-tourner dans tous les sens pour me retrouver dans quoi ? Dans un cul de sac !!!

    Elle se retourna pour partir. Et là, un arbre tomba juste sous son nez. Elle avait eu juste le temps de sauter en arrière que tout plein d’autres arbres tombèrent. Elle sautait par-ci, par-là, puis par ici… Et enfin, plus aucun arbres ne tombèrent. Normal, ils étaient tous tomber ! Leïla avait plein d’écorchure : les branches des arbres qu’elle n’avait pu éviter. La jeune fille repris son souffle et fit demi-tour.
    10 minutes, ¼ d’heure plus tard, elle était à l’autre bout, à gauche. Un cul de sac également.
    Maudissant cette forêt, elle fit les cent pas, à réfléchir comment elle pourrait sortir. Puis, comme par magie (XD), des arbres s’ouvrir pour laissez placent à un chemin qui menait à un grande tour. Leïla sauta de joie, et pris le chemin.
    Mais à la moitié, elle se retrouva dans une prison en fer. D’où elle était venue, cette prison, personne ne le savait, mais pour l’instant, la jeune nashaovienne était enfermée dedans. Elle essaya plusieurs sorts pour sortir mais aucun de fonctionna. Elle s’assit, complètement déprimer, et jura une nouvelle fois. Et c’est la colère qui vint en elle. Elle se releva, donna un énorme coup de pied dans la prison, et calmer, elle réfléchit.


    - Cassinio !

    Rien ne se produisit. Elle regarda la prison, déterminé.

    - Ecoute-moi, sale petite prison de bouse de vache, j’ai dit CASSINIO !!!!!!!!!!

    Et là, la prison se cassa. Leïla, fatiguer mais fière continua son chemin.
    Elle arriva dans la tour, et vit les escaliers. Elle regarda autour d’elle tata les murs, regardant si ce n’était pas un piège. Elle était crever, et ne voulait plus utiliser de magie.
    Elle monta les X marches de l’escalier tout doucement, pour ne pas trop se fatiguer. La dernière marche était truquer et quand Leïla marcha dessus, son pied s’enfonça. Elle tira fort dessus pour le sortir, mais rien à faire, le pied restait coincer.


    - Trouniom.

    Un minuscule trou vint se former dans la marche, juste assez pour que le pied de Leïla en pointe puisse passer.
    Enfin arrivée en haut, elle aperçut la clé. Elle fit comme en bas, tata tous les murs. A par une porte, il n’y avait rien. Trop fatiguer pour ce douter qu’un piège pouvait être pour la clé et pas pour les murs, elle pris la clé.
    Et là, elle tomba dans un énorme trou. Elle se cogna, et se dit qu’elle aurait X hématome. Elle respira bien fort, s’assit et essaya de reprendre des forces.
    Elle saignait d’un peu partout, et son genou et son coude la faisaient beaucoup souffrir. Elle s’était cogner la tête en tombant et n’avait plus de force de jeter un sort. Elle faillit mettre les étincelles, mais ce dit que Lina avait réussi, et qu’Arwen aussi. Alors, elle réussirait. Elle respira bien.


    - Levimi !

    Rien ne se produisit. Elle ferma les yeux, respira bien et pensa à Torno. Il fallait qu’elle lui montre de quoi elle était capable, même sans lui. Elle regretta de ne pas l’avoir emmener avec elle.

    - LEVIMI !

    Là, elle s’envola. Elle fermait toujours les yeux, et les ouvrit, elle n’avait pas réussi à sortir complètement du trou, mais pouvait attraper le bord en levant les bras. C’est ce qu’elle fit. Et dès qu’elle eu attrapé le bord, elle ne l’évitait plus. Elle était maintenant vider de presque toute son énergie. Elle se releva, pris la clé et ouvrit la porte.
    La sortie était là-bas ! Elle ne pouvait pas courir, son genou lui faisait trop mal, et en plus, elle était beaucoup trop fatiguer. Elle avançait lentement vers la sorti toute contente quand elle rencontra… une grosse araignée. Elle était toute verte, et ne semblait pas bien méchante. Leïla passa en dessous d’elle, mais ne réussi pas à se relever. L’araignée avait fait une toile qui emprisonnait sa chaussure !


    - Toi, prisonnière de moi ! Toi être le repas de nous ! Dit l’insecte.

    Et là, à la grande horreur de Leïla, une vingtième d’araignées surgir des arbres. Leïla hurla, et laissant sa chaussure là où elle était, partit en courant. Mais les araignées avaient faim et ne laisseraient pas leur nourriture partir comme ça. C’est là que commença une course folle.
    Leïla boitait, mais courait pour sauvée sa peau toute sale. Elle se prenait d’innombrables branches et saignait d’un peu partout, avait son pantalon complètement déchirer, et son genou la faisait atrocement souffrir, mais s’en fichait : les araignées la poursuivaient toujours. Mais heureusement, elle vit la porte. La jeune fille sortie, ferma la porte tout de suite après elle pour pas que les araignées sortent. Elle s’assit par terre et sourit à toute la classe… pour s’évanouir. Mais rien de bien grave ^^ !


    [ H.j : Waouw !! Pareil que toi Liven !!! 2 pages et demi !!!! Chuis trop contente !]

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