Les mains enfoncées dans ses poches, le col du manteau relevé, Nina n'avait pas trouvé le sommeil cette nuit, ce qui n'était pas rare dans son cas . . . Toute la nuit, elle avait arpenté les rues obscurcies par la nuit, pa son silence et par la bruit seul de ses pas errant jusqu'à un "ailleurs" enconre indéterminé. Le clair de lune lui avait donné un aspect bien lugubre, malgré les tons gais des maisons qui ornaient chaque endroit de la ville. Encore une journée neutre, sans envie, sans but précis, sans rien à faire. Elle s'était baladée toute la nuit, parcourant à peu près toute les alentours, mais dès lors qu'elle sentait le climat se réchauffer, elle comprit que l'heure avait finit par s'accellérer, ces heures qui lui avaient parues si longues . . .
L'aurore avait mélanger une petite touche de couleur en cette matinée, quelque chose en plus de la rosée fraîche qui avait apporté un pigment de bonne humeur. Malgré cela, l'étudiante avait gradé son humeur mélancolique et phylosophique, parsemée de songes indécis et flous.Elle avait prit le chemin du retour sans même s'en être aperçue, mais elle n'eut compris cela que lorsuqu'elle reconnut les graviers blancs de la pension. . . L'herbe verte n'avait pas encore séchée, l'humidité était présente dans l'air.
Elle continua de marcher car l'édifice était encore loin, elle devait traverser toute la cour encore pour atteindre les portes d'entrée. Elle poursuivit donc sa course,doucement, lentement, non chalemment. Quelque chose la pertuba, elle rouvrit ses yeux : une goute d'eau s'était aventurée à tombre sur sa main, Une goute si minuscule qu'elle valut la peine que Nina relève enfin la tête pour contempler l'atsmosphère et découvrir qu'une pluie ne tarderait pas à se faire sentir. . .
Elle dirigea son regard vers la poignée où elle allait poser sa main, mais quelque chose l'en empêcha: celle ci avait déjà bougé. Nina put alors fixer d'une façon floue qui était le propriétaire de cet acte. Il semblait ne pas avoir beaucoup dormit lui aussi. . .Elle n'était donc pas seule. Elle resta longuement rivée sur cette ombre, immobile.
L'aurore avait mélanger une petite touche de couleur en cette matinée, quelque chose en plus de la rosée fraîche qui avait apporté un pigment de bonne humeur. Malgré cela, l'étudiante avait gradé son humeur mélancolique et phylosophique, parsemée de songes indécis et flous.Elle avait prit le chemin du retour sans même s'en être aperçue, mais elle n'eut compris cela que lorsuqu'elle reconnut les graviers blancs de la pension. . . L'herbe verte n'avait pas encore séchée, l'humidité était présente dans l'air.
Elle continua de marcher car l'édifice était encore loin, elle devait traverser toute la cour encore pour atteindre les portes d'entrée. Elle poursuivit donc sa course,doucement, lentement, non chalemment. Quelque chose la pertuba, elle rouvrit ses yeux : une goute d'eau s'était aventurée à tombre sur sa main, Une goute si minuscule qu'elle valut la peine que Nina relève enfin la tête pour contempler l'atsmosphère et découvrir qu'une pluie ne tarderait pas à se faire sentir. . .
Elle dirigea son regard vers la poignée où elle allait poser sa main, mais quelque chose l'en empêcha: celle ci avait déjà bougé. Nina put alors fixer d'une façon floue qui était le propriétaire de cet acte. Il semblait ne pas avoir beaucoup dormit lui aussi. . .Elle n'était donc pas seule. Elle resta longuement rivée sur cette ombre, immobile.