[hj : Arya ! Arwen ! Venez m'arracher la tête.]
Il y avait beaucoup de monde sur la place publique de Sannom. Un groupe de jeune gens assuraient un petit spectacle de rue particulièrement doté d'humour mais d'où scintait la morale. Il était à peu près midi et dans cette belle et chaude journée, et les terrasses des cafés se couvraient peu à peu de Gamaëliens de tous horisons pressés de se restaurer.
L'un d'eux se trouvait assis non loin du spectacle en sirotant une grenadine et riait aux plaisanteries des artistes. Liven était vétu d'un jean et d'un polo noir qui étaient bien loin de ses vêtements habituellement à la pointe du rafinement et de la mode chic de Sannom. AUjourd'hui était une journée récréative dont il espérait bien profiter.
Sabbat s'amusait à impressioner les autres familiers présents par son adresse et son agilité, montant dans les arbres à toute vitesse, en redescendant aussitôt, faisant des bonds défiant l'entendement. Finalement épuisée, elle vint rejoindre le jeune homme avec sa grâce habituelle alors que se profilaient au détour de la rue deux silhouettes qu'il connaissait bien. Son regard s'assombrit et il le détourna des deux jeunes femmes qui lui rappellaient tant de bons que de mauvais souvenirs.
Il y avait beaucoup de monde sur la place publique de Sannom. Un groupe de jeune gens assuraient un petit spectacle de rue particulièrement doté d'humour mais d'où scintait la morale. Il était à peu près midi et dans cette belle et chaude journée, et les terrasses des cafés se couvraient peu à peu de Gamaëliens de tous horisons pressés de se restaurer.
L'un d'eux se trouvait assis non loin du spectacle en sirotant une grenadine et riait aux plaisanteries des artistes. Liven était vétu d'un jean et d'un polo noir qui étaient bien loin de ses vêtements habituellement à la pointe du rafinement et de la mode chic de Sannom. AUjourd'hui était une journée récréative dont il espérait bien profiter.
Sabbat s'amusait à impressioner les autres familiers présents par son adresse et son agilité, montant dans les arbres à toute vitesse, en redescendant aussitôt, faisant des bonds défiant l'entendement. Finalement épuisée, elle vint rejoindre le jeune homme avec sa grâce habituelle alors que se profilaient au détour de la rue deux silhouettes qu'il connaissait bien. Son regard s'assombrit et il le détourna des deux jeunes femmes qui lui rappellaient tant de bons que de mauvais souvenirs.