[PV Arwen]
Jeudi.
Isabelle s'était levée tôt ce jour-là, tout comme le lundi précédent...Ah. Mais que suis-je en train de faire ? Inutile de décrire et de préciser les journées de la grande femme, étant donné qu'en l'occurence, seule la soirée nous importe.
Pauvre Arwen.
Isabelle était déjà dans la salle de cours, vide, bien evidemment.
17h30.
Elle ne tarderait pas trop. Du moins la directrice l'esperait. Mais, à ses souvenirs, Arwen avait souvent été ponctuelle. Toujours ? Elle ne s'en rappellait plus. Esperont-le.
Cette fois, la femme n'était pas seule. Avec elle, son famillier, Oxeïus, son fidèle tigre. Animal rattaché à elle par obligation, d'ailleurs. Il n'approuvait pas toutes ses méthodes, mais c'était elle, sa maitresse. Et il ne pouvait absolument rien contre elle, de toutes manières.
Le grand tigre orange était alongé dans un coin, de toute sa magnifiscience. Isabelle le regarda un instant de ses yeux emeraude.
-Qu'as-tu, Isabelle ? Serais-tu anxieuse ?-
La grande femme haussa les sourcils, et dit, d'une voix tranchante
"Absolument pas."
Le tigre eut un sourire dans les yeux, alors qu'il disait, taquinant.
-Ah. J'avais cru, un instant.-
La femme fit le tour de son bureau et s'assit derrière, la tête dans les mains. Elle répondit simplement au tigre, d'une voix sifflante et mauvaise, glacée.
"Tu te fais des idées, chaton. Je suis simplement fatiguée. Je crois que je ne suis pas tout à fait rétablie."
Elle attendait Arwen, et n'était pas en forme. Mais elle ferait tout de même ses cours du soir. Qui sait, peut-être que cela la requinquerait ? Huhu.
Oxeïus leva les yeux au ciel et dit
-Je parie que tu as a nouveau de superbes idées de torture ? N'en as-tu pas marre ?-
La femme tourna vivement la tête vers son famillier, grondant
"Jamais les autres ne souffriront assez pour me faire oublier mes maux"
Elle eut un rire mauvais, tandis que le tigre reposait sa tête sur ses pattes avant. Il soupira. Vivement que la jeune fille arrive. La directrice, quand à elle, replongea la tête entre ses mains fines et pâles, marmonnant seule.
Jeudi.
Isabelle s'était levée tôt ce jour-là, tout comme le lundi précédent...Ah. Mais que suis-je en train de faire ? Inutile de décrire et de préciser les journées de la grande femme, étant donné qu'en l'occurence, seule la soirée nous importe.
Pauvre Arwen.
Isabelle était déjà dans la salle de cours, vide, bien evidemment.
17h30.
Elle ne tarderait pas trop. Du moins la directrice l'esperait. Mais, à ses souvenirs, Arwen avait souvent été ponctuelle. Toujours ? Elle ne s'en rappellait plus. Esperont-le.
Cette fois, la femme n'était pas seule. Avec elle, son famillier, Oxeïus, son fidèle tigre. Animal rattaché à elle par obligation, d'ailleurs. Il n'approuvait pas toutes ses méthodes, mais c'était elle, sa maitresse. Et il ne pouvait absolument rien contre elle, de toutes manières.
Le grand tigre orange était alongé dans un coin, de toute sa magnifiscience. Isabelle le regarda un instant de ses yeux emeraude.
-Qu'as-tu, Isabelle ? Serais-tu anxieuse ?-
La grande femme haussa les sourcils, et dit, d'une voix tranchante
"Absolument pas."
Le tigre eut un sourire dans les yeux, alors qu'il disait, taquinant.
-Ah. J'avais cru, un instant.-
La femme fit le tour de son bureau et s'assit derrière, la tête dans les mains. Elle répondit simplement au tigre, d'une voix sifflante et mauvaise, glacée.
"Tu te fais des idées, chaton. Je suis simplement fatiguée. Je crois que je ne suis pas tout à fait rétablie."
Elle attendait Arwen, et n'était pas en forme. Mais elle ferait tout de même ses cours du soir. Qui sait, peut-être que cela la requinquerait ? Huhu.
Oxeïus leva les yeux au ciel et dit
-Je parie que tu as a nouveau de superbes idées de torture ? N'en as-tu pas marre ?-
La femme tourna vivement la tête vers son famillier, grondant
"Jamais les autres ne souffriront assez pour me faire oublier mes maux"
Elle eut un rire mauvais, tandis que le tigre reposait sa tête sur ses pattes avant. Il soupira. Vivement que la jeune fille arrive. La directrice, quand à elle, replongea la tête entre ses mains fines et pâles, marmonnant seule.