Grandeur et opulence... Les hommes m'étonnerons toujours, au point parfois de m'en demander si j'en suis un moi-même.Peut-être ne le suis-je plus qu'à moitié, maintenant que... N'en parlons pas. Marbre, tapisseries et dorures... Ne comprennent donc-t-il pas leur propre fragilité? Ou bien au contraire ne construisent-ils cela que pour l'oublier, pour croire qu'ils peuvent la vaincre? J'ignore laquelle des des solutions est la plus effrayante.
Et moi je reste là, au milieu de ce hall aux proportion ridiculement démesurées, Hiluenn sur mon épaule, sa queue entourant mon cou. Je me demande souvent qui de nous deux a le plus besoin de l'autre. Je l'ignore également.
*Tu es bien pensif... et un plus tu pars dans tous les sens, j'ai du mal à te suivre moi ><*
*Excuse moi Hiluenn... Comprends moi aussi... c'est la première fois que je quitte la propriété, et pourtant je ne parviens pas à être heureux...*
*Tu as besoin de temps Ohiro... Et aussi d'une pelote de laine ou d'un peu d'herbe à chat. Tu devrais essayer, moi ça me calme.*
Je ne réponds pas à cette dernière remarque, mais un léger sourire, très fin, étire mes lèvres. La vie pour lui est si simple! Enfin... Je repère, quelques mètre plus loin, un banc, assez bien ouvragé. Je suppose qu'il est mit là pour que l'on y attende de nouvelles consigne. Je vais donc m'y assoir et, patiemment, j'attends que quelqu'un vienne m'y chercher.
Hiluenn n'a pas cette patience, et dès que je me suis assis, il fille vers une tapisserie, et commence à jouer avec les fils qui dépassent. Je ne réagit pas, il ne risque normalement pas grand chose...
Et moi je reste là, au milieu de ce hall aux proportion ridiculement démesurées, Hiluenn sur mon épaule, sa queue entourant mon cou. Je me demande souvent qui de nous deux a le plus besoin de l'autre. Je l'ignore également.
*Tu es bien pensif... et un plus tu pars dans tous les sens, j'ai du mal à te suivre moi ><*
*Excuse moi Hiluenn... Comprends moi aussi... c'est la première fois que je quitte la propriété, et pourtant je ne parviens pas à être heureux...*
*Tu as besoin de temps Ohiro... Et aussi d'une pelote de laine ou d'un peu d'herbe à chat. Tu devrais essayer, moi ça me calme.*
Je ne réponds pas à cette dernière remarque, mais un léger sourire, très fin, étire mes lèvres. La vie pour lui est si simple! Enfin... Je repère, quelques mètre plus loin, un banc, assez bien ouvragé. Je suppose qu'il est mit là pour que l'on y attende de nouvelles consigne. Je vais donc m'y assoir et, patiemment, j'attends que quelqu'un vienne m'y chercher.
Hiluenn n'a pas cette patience, et dès que je me suis assis, il fille vers une tapisserie, et commence à jouer avec les fils qui dépassent. Je ne réagit pas, il ne risque normalement pas grand chose...