[pv : Arwen]
La nuit tombait avec lenteur sur la capitale, une chappe d'obscurité complice pour tout les noctambules qui parcouraient les rues. Quelques nuages éparses se teintaient de belles couleurs or, rose et orange alors que le disque solaire disparaissait peu à peu dans l'océan qui semblait bouilloné tant le vent arrachait à la cime de ces vagues de l'écume blanche. La mer ressemblait à une immense toile bleue marine froissée en de multiples endroits sur laquelle on aurait pailleté un peu de sel pour égayer l'oeil. Le sel justement, c'était l'odeur qui disputait son monopole sur les quaies aux délicieuses fragrances des mets fins et délicats servit par les grands restaurants. Ceux-ci étaient autant de phares lumineux qui tranchaient avec la nuit noire, offrant aux passants un tourbillants d'odeur, de bruits, une ambiance agréable qui prenait en ses rets plus d'un gourmand alléché.
Liven attendait, assis sur un banc non loin de l'un deux face à la mer. Il avait donné rendez-vous à Arwen, l'invitant à un restaurant très courut du port qui affichait complet tous les soirs. La place qu'il avait d'ailleurs réservée était une des plus chère, sur la terrasse à l'étage, face à la mer à une distance raisonnable de l'orchestre. Ce n'était ni le restaurant le plus cher de la ville ni le plus classe, mais c'était de loin le plus convivial. Ici, on était sûr de trouver une ambiance agréable et décontractée lorsque l'orchestre de jazz commençait à jouer. Les clients commençaient à arriver et Liven se retournait fréquemment, guettant l'arrivée de sa dulciné. Ce soir était un soir spécial, c'était l'Anniversaire d'Arwen et Liven comptait bien à ce qu'elle passe une excellente soirée, juste tout les deux.
Le jeune homme était comme à son habitude élégament habillé. Il portait un pantalon blanc, une chemisette et une veste noire. Le fait que ce restaurant ne soit pas le lieu préféré de la haute société l'avait libéré de l'obligation de porter une cravate. Néanmoins, on ne pouvait qu'avouer que Liven avait du charme. Reconnaissant une silhouette familière, il se leva et s'avança devant le restaurant afin d'être facilement reconnu. Elle devait se douter de la raison de cette invitation, mais il savait que l'intention lui fairait plaisir.
La nuit tombait avec lenteur sur la capitale, une chappe d'obscurité complice pour tout les noctambules qui parcouraient les rues. Quelques nuages éparses se teintaient de belles couleurs or, rose et orange alors que le disque solaire disparaissait peu à peu dans l'océan qui semblait bouilloné tant le vent arrachait à la cime de ces vagues de l'écume blanche. La mer ressemblait à une immense toile bleue marine froissée en de multiples endroits sur laquelle on aurait pailleté un peu de sel pour égayer l'oeil. Le sel justement, c'était l'odeur qui disputait son monopole sur les quaies aux délicieuses fragrances des mets fins et délicats servit par les grands restaurants. Ceux-ci étaient autant de phares lumineux qui tranchaient avec la nuit noire, offrant aux passants un tourbillants d'odeur, de bruits, une ambiance agréable qui prenait en ses rets plus d'un gourmand alléché.
Liven attendait, assis sur un banc non loin de l'un deux face à la mer. Il avait donné rendez-vous à Arwen, l'invitant à un restaurant très courut du port qui affichait complet tous les soirs. La place qu'il avait d'ailleurs réservée était une des plus chère, sur la terrasse à l'étage, face à la mer à une distance raisonnable de l'orchestre. Ce n'était ni le restaurant le plus cher de la ville ni le plus classe, mais c'était de loin le plus convivial. Ici, on était sûr de trouver une ambiance agréable et décontractée lorsque l'orchestre de jazz commençait à jouer. Les clients commençaient à arriver et Liven se retournait fréquemment, guettant l'arrivée de sa dulciné. Ce soir était un soir spécial, c'était l'Anniversaire d'Arwen et Liven comptait bien à ce qu'elle passe une excellente soirée, juste tout les deux.
Le jeune homme était comme à son habitude élégament habillé. Il portait un pantalon blanc, une chemisette et une veste noire. Le fait que ce restaurant ne soit pas le lieu préféré de la haute société l'avait libéré de l'obligation de porter une cravate. Néanmoins, on ne pouvait qu'avouer que Liven avait du charme. Reconnaissant une silhouette familière, il se leva et s'avança devant le restaurant afin d'être facilement reconnu. Elle devait se douter de la raison de cette invitation, mais il savait que l'intention lui fairait plaisir.