Clara, accueillie par un Amaësien, n'avait pu lui demander où se trouvait sa salle commune. Pourtant, elle était parvenue à y arriver. Lorsque la jeune fille franchit les portes de sa maison, elle ressentit un poids quitter ses épaules soudainement, et admira la décoration un peu sombre des Dalaviriens. Elle était seule. Pour le moment.
Clara posa à terre ses nombreuses valises, et sortit de la poche de son jean un petit miroir en forme de coeur, s'y admira un instant, puis, avec un petit claquement de langue approbateur, le referma. Toujours mouillée, la jeune fille se sentit frissonner, et, délaissant ses bagages, alla se réchauffer près du feu qui crépitait en de grandes flammes dansantes dans la majestueuse cheminée qui ornait la pièce.
Clara sentit avec soulagement sa peau se réchauffer auprès du feu, et, jettant un coup d'oeil à droite comme à gauche, se résolut à se changer ici, ne sachant pas où étaient les dortoirs. Sans pudeur, elle retira d'abord son tee-shirt décolleté qui lui collait à la peau. Son soutien-gorge, quant à lui, n'était pas mouillé. Elle ôta par la suite son jean, pour renfiler rapidemment un autre qu'elle dénicha dans une de ses nombreuses valises.
Tandis qu'elle cherchait à tâtons dans un sac un tee-shirt enfilable, propre, et sec, Clara dressa l'oreille. Des bruits de pas. Abandonnant aussitôt son sac, la jeune fille referma ses bras humides sur sa poitrine et se redressa.
Clara posa à terre ses nombreuses valises, et sortit de la poche de son jean un petit miroir en forme de coeur, s'y admira un instant, puis, avec un petit claquement de langue approbateur, le referma. Toujours mouillée, la jeune fille se sentit frissonner, et, délaissant ses bagages, alla se réchauffer près du feu qui crépitait en de grandes flammes dansantes dans la majestueuse cheminée qui ornait la pièce.
Clara sentit avec soulagement sa peau se réchauffer auprès du feu, et, jettant un coup d'oeil à droite comme à gauche, se résolut à se changer ici, ne sachant pas où étaient les dortoirs. Sans pudeur, elle retira d'abord son tee-shirt décolleté qui lui collait à la peau. Son soutien-gorge, quant à lui, n'était pas mouillé. Elle ôta par la suite son jean, pour renfiler rapidemment un autre qu'elle dénicha dans une de ses nombreuses valises.
Tandis qu'elle cherchait à tâtons dans un sac un tee-shirt enfilable, propre, et sec, Clara dressa l'oreille. Des bruits de pas. Abandonnant aussitôt son sac, la jeune fille referma ses bras humides sur sa poitrine et se redressa.