L'histoire sans fin [ Finie xD]

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.

[quote="Arwen Black"]Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

[hj: Ivrogne qu' je suis . . .]

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ...

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ... Le lutin ! Ce satané roi avait dévoré le lutin pendant qu'elle le cherchait ! heureusement, il ne l'avait pas mâché ( ben oui, ça se passe comme ça dans tous les contes ) alors le lutin n'était pas mort.

[ HH : ( hors histoire ^^ ) je trouve que l'on pourrait prendre l'histoire seulement quelques lignes avant parce que sinon je trouve ça un peu chiant les messages hyper longs. Vous êtes ok ? ]

[ Nan, moi j'adore, ça fait style ^^ et en plus, si on veut la relire, on n'est pas obligés de reprendre tout du début. ]

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ... Le lutin ! Ce satané roi avait dévoré le lutin pendant qu'elle le cherchait ! heureusement, il ne l'avait pas mâché ( ben oui, ça se passe comme ça dans tous les contes ) alors le lutin n'était pas mort.

La lutin sortit donc, et, une fois face à la princesse, il déclara d'une voix tendre.

- Chère princesse, je suis en réalité un prince transformé en nain par cet ignoble Grignotegrignotedur, mais un baiser me rendra ma forme humaine.

[ Hj : C'est romantiiiiiiiiiiiiiiiiiique ! ]

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ... Le lutin ! Ce satané roi avait dévoré le lutin pendant qu'elle le cherchait ! heureusement, il ne l'avait pas mâché ( ben oui, ça se passe comme ça dans tous les contes ) alors le lutin n'était pas mort.

La lutin sortit donc, et, une fois face à la princesse, il déclara d'une voix tendre.

- Chère princesse, je suis en réalité un prince transformé en nain par cet ignoble Grignotegrignotedur, mais un baiser me rendra ma forme humaine.

Bazardeuresse hésita longuement, mais décida de le faire. Elle se pencha vers le lutin et lui déposa un baiser sur les lèvres [ se retient d'éclater de rire devant son ordi ].

[quote="Lou Koshi"][ Hj : C'est romantiiiiiiiiiiiiiiiiiique ! ]

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ... Le lutin ! Ce satané roi avait dévoré le lutin pendant qu'elle le cherchait ! heureusement, il ne l'avait pas mâché ( ben oui, ça se passe comme ça dans tous les contes ) alors le lutin n'était pas mort.

La lutin sortit donc, et, une fois face à la princesse, il déclara d'une voix tendre.

- Chère princesse, je suis en réalité un prince transformé en nain par cet ignoble Grignotegrignotedur, mais un baiser me rendra ma forme humaine.

Bazardeuresse hésita longuement, mais décida de le faire. Elle se pencha vers le lutin et lui déposa un baiser sur les lèvres [ se retient d'éclater de rire devant son ordi ].

La princesse n'aurait pas du faire ça ! Aussitot, le gentil lutin se transforma en la reincarnation de Grignotegrignotedur. Il sortit un couteu et le ffit jouer sous les yeux de la princesse horrifiée.

[ Hj : ça devient un peu du n'importe quoi ! Mdr ! N'empêche ça c'est des contes comme je les aime ! Parce que elle déposa sur ses lèvres un long baiser et tout ça, ça me fait vomir. ]

Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ... Le lutin ! Ce satané roi avait dévoré le lutin pendant qu'elle le cherchait ! heureusement, il ne l'avait pas mâché ( ben oui, ça se passe comme ça dans tous les contes ) alors le lutin n'était pas mort.

La lutin sortit donc, et, une fois face à la princesse, il déclara d'une voix tendre.

- Chère princesse, je suis en réalité un prince transformé en nain par cet ignoble Grignotegrignotedur, mais un baiser me rendra ma forme humaine.

Bazardeuresse hésita longuement, mais décida de le faire. Elle se pencha vers le lutin et lui déposa un baiser sur les lèvres.

La princesse n'aurait pas du faire ça ! Aussitot, le gentil lutin se transforma en la reincarnation de Grignotegrignotedur. Il sortit un couteu et le fit jouer sous les yeux de la princesse horrifiée.

Mais la princesse reprit rapidemment ses esprits, et sortit de dessous sa longue robe rose à pois verts un bazooka de plus de 5m de diamètre.
- YIHAAAAAAAAAA !
Le lutin reincarné en Grignotegrignotedur bondit en arrière. Néanmoins, la princesse tira plusieurs coups sur le méchant qui fut direct mort. Le sang coulait, et ce fut alors l'âme du bon lutin qu'elle avait vu avant qui s'en alla du corps.
Mince ! Elle avait tué le lutin !

* M***** ! *

On nage en plein délire ! Je ne lirais jamais un conte pareil à des gosses, ça leur fairait faire des cauchemares !



Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ... Le lutin ! Ce satané roi avait dévoré le lutin pendant qu'elle le cherchait ! heureusement, il ne l'avait pas mâché ( ben oui, ça se passe comme ça dans tous les contes ) alors le lutin n'était pas mort.

La lutin sortit donc, et, une fois face à la princesse, il déclara d'une voix tendre.

- Chère princesse, je suis en réalité un prince transformé en nain par cet ignoble Grignotegrignotedur, mais un baiser me rendra ma forme humaine.

Bazardeuresse hésita longuement, mais décida de le faire. Elle se pencha vers le lutin et lui déposa un baiser sur les lèvres.

La princesse n'aurait pas du faire ça ! Aussitot, le gentil lutin se transforma en la reincarnation de Grignotegrignotedur. Il sortit un couteu et le fit jouer sous les yeux de la princesse horrifiée.

Mais la princesse reprit rapidemment ses esprits, et sortit de dessous sa longue robe rose à pois verts un bazooka de plus de 5m de diamètre.
- YIHAAAAAAAAAA !
Le lutin reincarné en Grignotegrignotedur bondit en arrière. Néanmoins, la princesse tira plusieurs coups sur le méchant qui fut direct mort. Le sang coulait, et ce fut alors l'âme du bon lutin qu'elle avait vu avant qui s'en alla du corps.
Mince ! Elle avait tué le lutin !

* M***** ! *

Pénétrant dans la chambre, tous furent horrifiés. Toute cette agitation avait scandalisé les courtisans et les serviteurs qui sortaient outré du grand château. Dehors, les calèches se pressaient pour récupérer leur fardeau. Une limousine s'arrêta tout à la fin pour laisser monter le constructeur de bazouka qui devait d'ailleurs finir de mettre au point la bombe à neutrons. A l'intérieur du chateau, c'était une autre histoire. Dans la grande chambre d'amis, gisaient à terre les deux corps de Grignotegrinotedur et Bazardeuzeuresse qui faisait un caprice à son père pour choisir elle même son futur époux. Sortant tout à coups de l'ombre, le palefrenier du père de Bazardeuzeuresse, le roi de ce royaume, s'avança à sa rencontre. Il était d'une grande beauté, ses traits fins taillaient un visage angélique, ses yeux tressés en une infinité de petites tresses atteignaient tout juste ses épaules. Des tresses ? Oui, car notre beau palefrenier était noir comme le charbon. Dans ses yeux, on pouvait lire le courage et la loyauté. Il se tenait droit avec une prestance digne des plus grands seigneurs qui avaient défilés au cours de cette soirée.

- Je m'appelle Sanfayir ô belle princesse, et je vous aime depuis le premier jour.



[hj : Bah oui ! Dans les comptes ça finis toujours bien.]

[hj : Pourquoi tu as posté deux fois ?

Lina qui n'en rate pas une a écrit:...et les deux amoureux s'embrassèrent, tel Liven et Arwen

Wwwwwaaaaooooo les références ! Lina tu m'impressionne.]



Dans une forêt profonde, une princesse nommée Bazardeuresse se baladait entre les arbres. Un instant, elle entendit du bruit, et tomba sur un lutin qui lui dit qu'il était tomber du traîneau du père noël pendant sa dernière tournée. La princesse fut d'abord très étonnée par l'histoire du lutin, mais se rendit vite compte qu'il n'était pas méchant ! Néanmoins, elle resta sur ses gardes, et lui posa quelques questions sur le Père Noël, afin de voir si ce qu'il disait était vrai. Et en fait, tout cela était bien vrai, alors la princesse lui raconta tous ses malheurs, livrant enfin à quelqu'un, aussi petit fût-il, tout ce qu'elle avait sur le cœur.
C'est ainsi que le lutin apprit que la jeune fille était terriblement malheureuse dans le haut château de son père. Celui-ci envisageait de la marier à un homme bien plus âgé qu'elle et terriblement laid, mais puissant, le Roi du royaume de Grignotegridnotedur. Effondrée, la princesse implora le lutin de l'aider à ce sortir de ce pétrin, de cet avenir qui lui faisait monter les larmes aux yeux.
En effet, Bazardeuresse avait eu l'occasion de le rencontrer lors d'un Bal organisé par son père. Mais cela ne c'était pas très bien passé... Bien au contraire. La princesse était arrivée au bal avec sa plus belle robe, celle bleue-violette. Elle avait été ravissante, toute la soirée, bien soignée, jolie... une vraie princesse. Mais tout avait été gâché quand son père lui avait présenté son futur époux, le Roi. Celui-ci était chauve, avec seulement deux touffes rousses et grasses de cheveux de chaque côté de son crâne cabossé. Son gros visage orné de quelques pustules agrémentées de poils noirs était suant et sentait mauvais. Lorsqu'il ouvrit la bouche et lui baisa la main, Bazardeuresse retint un cri et se mordit la lèvre. L'haleine pestilentielle du gros homme lui donna la nausée, tandis qu'un mince filet de sueur perlait dans son dos. C'est ainsi que la soirée continua, le roi de Grignotegridnotedur voulant toujours à tout prix être avec elle, à côté d'elle... il alla même jusqu'à lui prendre la main, et la princesse s'enfuit alors dans.. Les cuisines, sachant pértinament que personne n'aurait idée de la trouver la! A ce moment, elle se déguisa même en bonne.
Elle brit un morceau de charbon et s'en barbouilla le visage puis elle ouvrit la porte qui menait à la cour et elle se retrouva nez à nez avec, une fois de plus, ce roi ignoble. Mais, fort heuresement pour elle, il ne la reconnut pas. Il la prit pour une bonne et l'insulta. Alors la princesse fuit en courant du château, sous le regard étonné du roi. Pourquoi une servante partirais ? Il les traitais pourtant bien...
La princesse arriva dans le village, et fuit vers la forêt. Il faisait nuit noir, et la princesse s'enfonçais dans la forêt, tout en pleurant. Et ce fut bien là, dans la forêt, qu'elle rencontra le lutin et qu'elle lui a tout raconté.
Après avoir finit son récit, des larmes recommencèrent à jallir des yeux de la princesse. Le lutin était tout étonné, et assez ému aussi. Il dit à la princesse :
-Chère princesse, je vais faire quelque chose pour toi. Rentre au chateau et couvre toi du voile que je vais te donner. Il te permettra de te rendre invisible ensuite, tu devra découvrir ce qu'il faut faire pas toi même, je ne puis plus t'aider.
-Non ! Je ne veux y plus aller ! PLus au chateau ! Plus revoir cette affreux... homme ! Plus jamais ! répondit Bazardeuresse en pleurant de plus belle.
- Tu es sûr ? demanda le lutin d'un air amusé.
- Sûre ! Jamais je ne voudrais revoir cet affreux bonhomme !
- Mais si tu es invisible ?
- ...
Finalement, le lutin réussit à convaincre la princesse de retourner au château. Mais elle avait une petite idée : Comme elle serait invisible, elle ferait plein de malheurs à cet horribe homme.

Bazardeuresse revînt alors au château, confiante, et pour la première fois depuis bien longtemps, sûre d'elle. Un sourire éclatant ornait ses lèvres, et elle était plus belle que jamais. Mais hélas, personne ne pouvait voir cette beauté. La jolie princesse était maintenant invisible. En entrant par les grandes portes du palais, elle y rencontra une agitation peu commune. Tous les gardes étaient déployés, et la cherchaient partout. Elle croisa enfin le méchant Grignotegridnotedur, qui s'acharnait à faire fouetter les hommes qui revenaient sans nouvelles de la princesse qu'il aimait, mais qui ne l'aimait pas. La princesse riait en elle-même. Que pouvait-elle faire, comme première blague, au méchant Roi? Elle s'avança près de lui, se bouchant la nez. Et elle lui mit une claque mo-nu-men-tale !

Surpris, le Roi hurla d'un cri très aigu. Les gens autour de lui ne pûrent s'empêcher d'éclater de rire, tant cette voix de fillette qui s'était échappée du gosier de Grignotegridnotedur paraissait déplacée. Aussitôt, le méchant roi attrapa un fouet, et commencer à donner des coup autour de lui ...
La princesse échapa de justesse à un coup de fouet, et dès que le roi eut arrêter, la princesse lui pris le fouet, et parti en courant avec. Le roi pris alors peur. Il croyais au fantôme....

Finalement, amusée de voir le Roi courir dans tous les sens, Bazardeuresse revînt vers lui, fouet en main, et commença à le fouetter en chantonnant.
' Vilain ... Tu es puni ...' d'une voix extrèmement douce. Le roi fut si surpris qu'il lâcha le fouet et vira au vert. Il paniqua en regardant tout le monde avec des yeux remplis de peur.
- Aaaaaaaaaaaaah ! Que se passe-t-il ???

- Il se passe que t'as perdu, gros tas ! Ta chérie s'est tuée ... Par ta faute ... Tu dois donc ... MOURIR !
Le roi crut devenir fou. Il plaqua ses mains sur ses oreilles et hurla d'une voix éxtrèment fémine.
Tout autour de lui, ses courtisans, ses serviteurs et ses hommes de mains le regardèrent, éfaré. Ils finirent par se rendre à l'évidence : le roi de Gringnotegridnotedur était fous ! On l'emmena donc, dans l'intention de le soigner. Malheureusement pour le roi, Bazarderesse n'en avait pas finit avec lui ! Elle lui prepara donc un autre tour... : Elle sortit de son bocal une grosse araigné, toute velue mais complétement inofesive. Aussitot, le roi se mit à sauter partout, à injurier le seigneur et les personnes presentes et à donner des coups dans le vide.
Mais tout à coup, Bazardeuresse se sentit faiblir. Comme si elle devenait plus importante. Etonnée, elle se regarda et se rendit compte qu'elle n'était plus invisible : elle avait réaparu ! La princesse avala difficilement sa salive. Que faire ? De son côté, le roi la défigurait, et ne comprenait rien.
Alors, pour faire diversion, la princesse immita un état d'ivresse, le roi ne saississait toujours pas, mais joua le jeu. . .C'est qu'elle jouait bien la comédie la Bazardeuse . . .
Il s'écria :

- Champagnes mes amis !!!! Champagne !!

Très bête, Gringnotegridnotedur ne se doutait de rien, et Bazardeuresse s'amusa à le soûler jusqu'à ce qu'il devienne îvre mort. Alors elle m'amena dans une chambre, et, faisant mine de le séduire, attrapa au dernier moment un couteau dont elle lui poignarda le ventre. Soudain ébahie, la princesse vit sous ses yeux sortir de la bedaine imposante du roi ... Le lutin ! Ce satané roi avait dévoré le lutin pendant qu'elle le cherchait ! heureusement, il ne l'avait pas mâché ( ben oui, ça se passe comme ça dans tous les contes ) alors le lutin n'était pas mort.

La lutin sortit donc, et, une fois face à la princesse, il déclara d'une voix tendre.

- Chère princesse, je suis en réalité un prince transformé en nain par cet ignoble Grignotegrignotedur, mais un baiser me rendra ma forme humaine.

Bazardeuresse hésita longuement, mais décida de le faire. Elle se pencha vers le lutin et lui déposa un baiser sur les lèvres.

La princesse n'aurait pas du faire ça ! Aussitot, le gentil lutin se transforma en la reincarnation de Grignotegrignotedur. Il sortit un couteu et le fit jouer sous les yeux de la princesse horrifiée.

Mais la princesse reprit rapidemment ses esprits, et sortit de dessous sa longue robe rose à pois verts un bazooka de plus de 5m de diamètre.
- YIHAAAAAAAAAA !
Le lutin reincarné en Grignotegrignotedur bondit en arrière. Néanmoins, la princesse tira plusieurs coups sur le méchant qui fut direct mort. Le sang coulait, et ce fut alors l'âme du bon lutin qu'elle avait vu avant qui s'en alla du corps.
Mince ! Elle avait tué le lutin !

* M***** ! *

Pénétrant dans la chambre, tous furent horrifiés. Toute cette agitation avait scandalisé les courtisans et les serviteurs qui sortaient outré du grand château. Dehors, les calèches se pressaient pour récupérer leur fardeau. Une limousine s'arrêta tout à la fin pour laisser monter le constructeur de bazouka qui devait d'ailleurs finir de mettre au point la bombe à neutrons. A l'intérieur du chateau, c'était une autre histoire. Dans la grande chambre d'amis, gisaient à terre les deux corps de Grignotegrinotedur et Bazardeuzeuresse qui faisait un caprice à son père pour choisir elle même son futur époux. Sortant tout à coups de l'ombre, le palefrenier du père de Bazardeuzeuresse, le roi de ce royaume, s'avança à sa rencontre. Il était d'une grande beauté, ses traits fins taillaient un visage angélique, ses yeux tressés en une infinité de petites tresses atteignaient tout juste ses épaules. Des tresses ? Oui, car notre beau palefrenier était noir comme le charbon. Dans ses yeux, on pouvait lire le courage et la loyauté. Il se tenait droit avec une prestance digne des plus grands seigneurs qui avaient défilés au cours de cette soirée.

- Je m'appelle Sanfayir ô belle princesse, et je vous aime depuis le premier jour.

La princesse tomba éperdument amoureuse et répondit avec une grande douceur :

- Je ne vous avais jamais rencontré, mais votre sentiment est réciproque.

Sanfayir lui sourit et les deux amoureux s'embrassèrent, tel Liven et Arwen.
Il se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants...

C'est un jour de pluie que Bazardeuresse raconta à sa petite dernière comment elle avait rencontré son époux, le palefrenier Sanfayir. La petite fille l'écoutait... Non ! Elle buvait ses paroles en rêvant à des princes charmants. Elle avait la peau joliement métissée et des cheveux doux et soyeux. Elle ressemblait beaucoup à sa mère et se nommait Mignonemignonette.

FIN ! C'est pas très logique, mais qu'ajouter ?
On en commence une autre ? ^^