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Arwen était arrivée dans la Salle Commune de Nashaovie dégoulinante et sale.
Ses cheveux étaient emmelés et de la neige mêlée de boue ornait ses vêtements trempés.
La jeune fille avait d'abord eu envie de se laisser tomber dans un gros pouf rebondi, mais n'avait pas voulu salir le tissu uni et s'était rapatriée vers sa chambre pour y chercher une tenue propre, confortable, et suffisament chaude.
Le choix d'Arwen s'était porté sur une jean neuf pattes d'ephs et un pull chocolat décolleté en V, ainsi qu'un tee-shirt vert anis porté en dessous.
Ce fut avec ces habits sous le bras que la Nashaovienne poussa la porte de la Salle de Bain.
Arwen déposa son chargement sur un porte-serviette et se dénuda rapidemment, sans pudeur, avant de se glisser dans un bain chaud rempli d'une mousse agréablement parfumée.
La jeune fille soupira d'aise et étendit ses bras derrière sa tête, sur sa nuque, comme un appui-tête.
Une fois dans cette position si agréable, parfaitement détendue, la Nashaovienne ferma les yeux.
Le tas de ses vêtements sales stagnait à terre et le bruit de la pluie sur le carreaux rendait cette situation encore plus magique que d'ordinaire.
Ses cheveux étaient emmelés et de la neige mêlée de boue ornait ses vêtements trempés.
La jeune fille avait d'abord eu envie de se laisser tomber dans un gros pouf rebondi, mais n'avait pas voulu salir le tissu uni et s'était rapatriée vers sa chambre pour y chercher une tenue propre, confortable, et suffisament chaude.
Le choix d'Arwen s'était porté sur une jean neuf pattes d'ephs et un pull chocolat décolleté en V, ainsi qu'un tee-shirt vert anis porté en dessous.
Ce fut avec ces habits sous le bras que la Nashaovienne poussa la porte de la Salle de Bain.
Arwen déposa son chargement sur un porte-serviette et se dénuda rapidemment, sans pudeur, avant de se glisser dans un bain chaud rempli d'une mousse agréablement parfumée.
La jeune fille soupira d'aise et étendit ses bras derrière sa tête, sur sa nuque, comme un appui-tête.
Une fois dans cette position si agréable, parfaitement détendue, la Nashaovienne ferma les yeux.
Le tas de ses vêtements sales stagnait à terre et le bruit de la pluie sur le carreaux rendait cette situation encore plus magique que d'ordinaire.
