[Hj : Ici... je suis complètement timbrée. (Au cas ou...)]
Arya entrouvrit la porte de la salle de duel et jeta un coup d’œil à l'intérieur. Personne. Parfait. Elle ouvrit cette fois carrément la porte, chercha son sac de la main, ne le trouva pas. Il était resté au dortoir. Arya grommela et réfléchit. puis elle haussa les épaules, décida de ne rien marquer, et entra dans la grande salle recouverte de matelas. Il y en avait partout : aux murs, par terre, et même au plafond.
*Comme si on allait projeter quelqu'un à cette hauteur-là...*
Les verres des fenêtres étaient doublées, mais laissaient bien passer la lumière. La jeune fille se posta au centre de la salle, et chercha un endroit où s'asseoir des yeux. Elle se décida pour un coin de la salle, à l'opposé des gradins et de la porte, et s'assit, prenant soin de plier jupe longue sous elle. Elle attendit les garçons en fredonnant une chanson qui était parvenue à Gamaëlia de la terre, même si elle ne comprenait pas grand chose aux paroles. Au moins, l'air y était, et la chanson emplissait la pièce au fur et à mesure qu'elle prenait de l'assurance. Ses bras entouraient ses genoux repliés, et sa tête était posée contre le coin, les yeux fermés.
Arya entrouvrit la porte de la salle de duel et jeta un coup d’œil à l'intérieur. Personne. Parfait. Elle ouvrit cette fois carrément la porte, chercha son sac de la main, ne le trouva pas. Il était resté au dortoir. Arya grommela et réfléchit. puis elle haussa les épaules, décida de ne rien marquer, et entra dans la grande salle recouverte de matelas. Il y en avait partout : aux murs, par terre, et même au plafond.
*Comme si on allait projeter quelqu'un à cette hauteur-là...*
Les verres des fenêtres étaient doublées, mais laissaient bien passer la lumière. La jeune fille se posta au centre de la salle, et chercha un endroit où s'asseoir des yeux. Elle se décida pour un coin de la salle, à l'opposé des gradins et de la porte, et s'assit, prenant soin de plier jupe longue sous elle. Elle attendit les garçons en fredonnant une chanson qui était parvenue à Gamaëlia de la terre, même si elle ne comprenait pas grand chose aux paroles. Au moins, l'air y était, et la chanson emplissait la pièce au fur et à mesure qu'elle prenait de l'assurance. Ses bras entouraient ses genoux repliés, et sa tête était posée contre le coin, les yeux fermés.