Narahin était sorti de l'académie en douce, personne ne l'avait vu sortir du dortoir des Dalaviriens. Il voulait juste se baladait. Les cours l'avait fatigué, il voulait retrouvé sa liberté et ne plus être enfermé. C'était la sensation qu'il éprouvait, un manque de liberté, il y avait trop de monde, sa légère agoraphobie l'avait cloué au sol lorsqu'il dû traversé le hall d'entrée bondé. Le parc aurait été parfait pour se promenait mais cela lui avait rappelé des mauvais souvenirs et il ne voulait surtout pas y repenser. Il se dirigea alors vers la ville. Il préféra éviter les endroits bruyants, il devait aussi évité de se faire repérer par un des profs. Il entra de vitesse dans une ruelle lorsque qu'il crut reconnaître l'un d'eux. Il s'enfonça petit à petit dans les ruelles sombres. Des cadavres d'animaux s'entasser ça et là, une odeur pestilentielle s'échapper des égouts. Narahin repensa à Amaris, il l'avait laissée endormie sur son lit. Il n'avait pas voulut la réveillée pour des futilités.
Il commençait à avoir froid, les bruits de la ville éclairée s'estompait. La lune éclairée faiblement l'allée sombre. Il débarqua dans un impasse, lorsqu'il entendit le bruit de pas se rapprochant. Il n'avait pas encore peur, il était simplement agacé, il fit donc demi-tour, des rats fouinés dans les poubelles. Toutes cette crasses le répugné, il aurait dû rester dans le parc se surpris-t-il à penser, était-ce par paranoïa ou non mais il avait l'impression d'être suivi. Dès qu'il comprit ce fait, il ne pû s'empêcher de paniquer, ce fut l'erreur qu'il n'aurait pas dû commettre. Il courut dans tous les sens. Son pouls s'accélérait, son sang battait à ses tempes.
Il était ridicule, il ne s'était pas contenté des événements de la journée où il avait cru qu'il allait mourir, maintenant cette impression était revenue. Une profonde amertume s'empara de lui. Il voulait être chez sa tante au chaud, ils auraient regardé un film à la télé, et sa tante se serait mis à parler de Liven en regardant la seule photo qu'elle avait de lui. Le comparant toujours à son frère, vantant ses mérites et ridiculisant son fils. Même aujourd'hui il ne comprenait pas les sentiments de sa tante envers son fils. On dirait qu'il avait commis une faute grave, celle de naître, en réalité, elle ne le détestait pas, elle ne l'appréciait pas et ne s'en était jamais soucié plus que de raison. Mais c'était étrange, une mère ne détestait jamais son propre enfant. Narahin avait beau tourné les choses dans toutes les manières il n'y comprenait rien. Il revint subitement à la réalité, sa frayeur, passagère s'était dissipée. Il avait repris son calme habituel, il ne penser plus au passé d'ailleurs il n'avait même pas essayé de penser au événements de la journée, le cours de magie de combat avait vraiment été éprouvant. Il tourna dans une autre ruelle, il avança, son visage se crispa soudainement. Devant lui, un homme avec un poignard ensanglanté, se relevé, un autre homme était allongé par terre, son sang s'étalait en une large flaque. Narahin était sans voix, il ne parvenait pas à bouger, sa respiration était saccadée, son coeur était en suspension.
L'homme le remarqua bien rapidement, il devint blanc, la frayeur qui l'avait quittée à peine quelques instants, était revenue de plus belle, mais en pire. Il trébucha, tomba, se releva et se mit à courir. Il ne savait plus ce qu'il faisait. Son esprit était à des lieux d'ici. Pendant une fraction de seconde, il pensa a utiliser sa magie mais, il ne pu même pas réfléchir, il repensa immédiatement à courir, de plus cet personne savait certainement mieux que lui usé de la magie.
**Je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir!!!**
La seule idée de crier ne lui vint pas à l'esprit. Rien ne lui venait à l'esprit, si une image, l'image de son frère.
**J'aimerais tant être aussi fort que lui!**
Il courait, ne s'arrêtant que pour vérifier que son assaillant le suivait encore.
Il se retrouva dans une impasse, l'homme se trouvait à vingt mètres de lui. Il trébucha et se retrouva par terre. Il était à deux doigts de s'évanouir. Un dernier espoir vint le réconforter, peut-être qu'Amaris s'était rendue compte de son absence et l'avait signalée à quelqu'un. Mais l'espoir était vint car Amaris dormait toujours sur son lit, aucune aide de sa part ne pouvait le sauver.
Il commençait à avoir froid, les bruits de la ville éclairée s'estompait. La lune éclairée faiblement l'allée sombre. Il débarqua dans un impasse, lorsqu'il entendit le bruit de pas se rapprochant. Il n'avait pas encore peur, il était simplement agacé, il fit donc demi-tour, des rats fouinés dans les poubelles. Toutes cette crasses le répugné, il aurait dû rester dans le parc se surpris-t-il à penser, était-ce par paranoïa ou non mais il avait l'impression d'être suivi. Dès qu'il comprit ce fait, il ne pû s'empêcher de paniquer, ce fut l'erreur qu'il n'aurait pas dû commettre. Il courut dans tous les sens. Son pouls s'accélérait, son sang battait à ses tempes.
Il était ridicule, il ne s'était pas contenté des événements de la journée où il avait cru qu'il allait mourir, maintenant cette impression était revenue. Une profonde amertume s'empara de lui. Il voulait être chez sa tante au chaud, ils auraient regardé un film à la télé, et sa tante se serait mis à parler de Liven en regardant la seule photo qu'elle avait de lui. Le comparant toujours à son frère, vantant ses mérites et ridiculisant son fils. Même aujourd'hui il ne comprenait pas les sentiments de sa tante envers son fils. On dirait qu'il avait commis une faute grave, celle de naître, en réalité, elle ne le détestait pas, elle ne l'appréciait pas et ne s'en était jamais soucié plus que de raison. Mais c'était étrange, une mère ne détestait jamais son propre enfant. Narahin avait beau tourné les choses dans toutes les manières il n'y comprenait rien. Il revint subitement à la réalité, sa frayeur, passagère s'était dissipée. Il avait repris son calme habituel, il ne penser plus au passé d'ailleurs il n'avait même pas essayé de penser au événements de la journée, le cours de magie de combat avait vraiment été éprouvant. Il tourna dans une autre ruelle, il avança, son visage se crispa soudainement. Devant lui, un homme avec un poignard ensanglanté, se relevé, un autre homme était allongé par terre, son sang s'étalait en une large flaque. Narahin était sans voix, il ne parvenait pas à bouger, sa respiration était saccadée, son coeur était en suspension.
L'homme le remarqua bien rapidement, il devint blanc, la frayeur qui l'avait quittée à peine quelques instants, était revenue de plus belle, mais en pire. Il trébucha, tomba, se releva et se mit à courir. Il ne savait plus ce qu'il faisait. Son esprit était à des lieux d'ici. Pendant une fraction de seconde, il pensa a utiliser sa magie mais, il ne pu même pas réfléchir, il repensa immédiatement à courir, de plus cet personne savait certainement mieux que lui usé de la magie.
**Je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir!!!**
La seule idée de crier ne lui vint pas à l'esprit. Rien ne lui venait à l'esprit, si une image, l'image de son frère.
**J'aimerais tant être aussi fort que lui!**
Il courait, ne s'arrêtant que pour vérifier que son assaillant le suivait encore.
Il se retrouva dans une impasse, l'homme se trouvait à vingt mètres de lui. Il trébucha et se retrouva par terre. Il était à deux doigts de s'évanouir. Un dernier espoir vint le réconforter, peut-être qu'Amaris s'était rendue compte de son absence et l'avait signalée à quelqu'un. Mais l'espoir était vint car Amaris dormait toujours sur son lit, aucune aide de sa part ne pouvait le sauver.
Dernière édition par Narahin Menez le Mer 14 Oct 2009 - 19:30, édité 1 fois