Le jeune homme attendit un peu mais aucun bruit ne se faisait entendre depuis l'autre côté de la porte. Est-ce que cette chère directrice était bien là ? Le jeune homme frappa une deuxième fois, puis se permit d'entrer en silence. Pouvait-on se fier à des racontars de gosses ? Pouvait-on croire qu'un femme d'une telle envergure soit réellement sadique ? Il ne savait que trancher... De toutes façons il s'en fichait bien, Shindra doutait fortement qu'elle s'en prenne à lui.
Vaguement perdu dans ses pensées, son regard parcourant négligeamment la pièce, il s'aperçut que tout était étrangement... calme. Or qui dit calme, dit absence de présence n'est-ce pas ? Quoi que... Le jeune homme doutait fortement de sa théorie. Rare sont les personne à s'absenter en laissant leur bureau ouvert, qui plus est une femme... Et pourtant... Personne n'était assis derrière le bureau qui lui faisait face. Tout respirait l'ordre et la propreté, la maîtrise de soi mais tout était... vide... Seul un feu flambait dans l'âtre, vague contraste dans cette pièce sombre et monotone.
Peut-être ces enfants avaient-ils raison ? On dit souvent qu'une pièce reflète la personne qui y vit. La directrice était-elle si sombre dans son caractère ? Aussi sombre et austère que cette pièce ? Un frisson parcourut l'échine du jeune homme, non par peur mais par excitation. Cette entrevue risquait bien d'être fort intéressante...
Malgré des bagages lourds, il ne les posa pas sur le sol, et attendit encore un peu, sans faire le moindre geste. Le silence glacé qui pesait dans l'air ne le dérangeait pas le moins du monde, il le trouvait même reposant. Un quinte de toux se fit entendre, et son corps se raidit. Quelqu'un se trouvait dans la pièce voisine mais ne l'avait visiblement pas entendu rentré. Il ne pouvait rester ici sans rien dire, comme un intrus dans l'intimité de cette grande femme qu'était la directrice. Sa voix s'éleva, douce dans le silence feutré :
"- Excusez-moi, il y a quelqu'un ?"
[H.J : c'est pas bien long désolé... Je crains fortement de ne pas pouvoir égaler ton talent en Rp -_-']
Vaguement perdu dans ses pensées, son regard parcourant négligeamment la pièce, il s'aperçut que tout était étrangement... calme. Or qui dit calme, dit absence de présence n'est-ce pas ? Quoi que... Le jeune homme doutait fortement de sa théorie. Rare sont les personne à s'absenter en laissant leur bureau ouvert, qui plus est une femme... Et pourtant... Personne n'était assis derrière le bureau qui lui faisait face. Tout respirait l'ordre et la propreté, la maîtrise de soi mais tout était... vide... Seul un feu flambait dans l'âtre, vague contraste dans cette pièce sombre et monotone.
Peut-être ces enfants avaient-ils raison ? On dit souvent qu'une pièce reflète la personne qui y vit. La directrice était-elle si sombre dans son caractère ? Aussi sombre et austère que cette pièce ? Un frisson parcourut l'échine du jeune homme, non par peur mais par excitation. Cette entrevue risquait bien d'être fort intéressante...
Malgré des bagages lourds, il ne les posa pas sur le sol, et attendit encore un peu, sans faire le moindre geste. Le silence glacé qui pesait dans l'air ne le dérangeait pas le moins du monde, il le trouvait même reposant. Un quinte de toux se fit entendre, et son corps se raidit. Quelqu'un se trouvait dans la pièce voisine mais ne l'avait visiblement pas entendu rentré. Il ne pouvait rester ici sans rien dire, comme un intrus dans l'intimité de cette grande femme qu'était la directrice. Sa voix s'éleva, douce dans le silence feutré :
"- Excusez-moi, il y a quelqu'un ?"
[H.J : c'est pas bien long désolé... Je crains fortement de ne pas pouvoir égaler ton talent en Rp -_-']